Et quand il parle de boucheries et de belles boucheries, il est dans la sincérité la plus totale (certes pas politiquement correct). Il ne vas pas inventer un sens profond et psychologique au
FPS, il dit les choses crûment, et la nouveauté en fait, dans ce papier, c'est que je le cite sans tirer de conclusions sur la violence des jeux "qui rendent violents les joueurs", mais exactement
le contraire. Relisez, vous verrez. Julien a relu ses citations et il n'a pas tiqué, ça l'a fait rire en fait. Le fait que des joueurs aiment "les belles boucheries" n'est pas très grave en soi. C'est ce que je laisse clairement entendre dans mon papier. Et ça n'est pas vraiment caricatural je pense.
C'est tellement vrai. Encore plus quand on parle de FPS.
Pourquoi être contre une bonne tranche de fun, mais si c'est très mauvais gout (oui, Dead Rising, Serious Sam, je vous regarde), alors que tout le monde s'obstine à dire que ce n'est pas réel ? C'est pas très fin, mais à la limite, que ça ne cherche pas à aller beaucoup plus loin est plus sain que si on essayait de mettre un sorte de message par-dessus.
M'enfin, 'as choisis ton timing, Nakei, avec le trailer juste au-dessus. xD
Au passage, c'est aussi assez amusant d'entendre parler des réactions du non-joueur avec l'opposition des mentalités entre les années 90 et maintenant. C'était moins accepté, mais des de "non-joueur" (dans un sens, je préfère se terme à
casual gamer, qui est devenu bourré de mépris de la part des "
hardcore gamerz", on a franchement bien fait de leur laisser plus de marge
) y'en avait plus, et des meilleurs. Ne serait-ce que des jeux de réflexions à la pelle, genre presque mourant l'heure actuel (enfin, un côté d'un monstre comme Lemmings).
C'est drôle de voir que le milieu du jeu vidéo est presque plus pourri de l'intérieur que de l'extérieur maintenant qu'il est plus reconnu. Comme quoi, personne n'est parfait.