Auteur : Akasaka Aka
Année (démarrage publication) : 2015
Synopsis : Miyuki et Kaguya sont les présidents et vice-présidents du conseil des étudiants de l'académie Shuchi'in, qui regroupe les héritiers des plus grandes fortunes japonaises.
Dotés tous les deux d'un ego à la mesure de leur statut, ils sont aussi dingues l'un de l'autre. Mais voilà, se confesser, c'est se montrer intolérablement vulnérable, non?
Voici donc l'histoire des stratagèmes incroyablement inutiles et compliqués que ces deux génies ne cesseront pas de mettre en œuvre pour pousser l'autre à se confesser en premier.
Damned !
Il était temps là ! On en parle ou pas de Kaguya ? J'ai tapé deux critiques vous croyez que j'allais m'arrêter là !
Donc, ici, on va parlez de Kaguya. Comme le sous manga sur l'univers avec les deux membres du club de journalistes.
Rentrons dans le détail, je vous déjà dis mon ressenti sur le webzine, voilà plus en détail ce que j'en pense.
Kaguya peut être globalement séparé en plusieurs partie. Il y avant le chapitre 137 et après le chapitre 137. Et aussi par deux biais de vision.
Le regard sur Miyuki et Kaguya et le focus sur Ishigami deuxième héros (stipulé par l'auteur) de ce récit.
Donc dans Kaguya il se passe ...
C'est la course à la confession. Celle finalement qui a attiré le lecteur.
Humour et dérision, jeux sur les codes du genre avec même de grosse référence. Seront traité en soit le fonctionnement même de deux type de romance, le Shojo manga et le shonen manga ayant tout deux leur chapitre consacré. Kaguya rassemblant alors plus ou moins tous les codes des deux versants de la pièce sans utilisé aucunement aucune ficelle ou écueil des deux genre cité.
S'en suit alors tout un univers qui ne fait que s’agrandir autour de nos deux tourtereaux. Entre Ishigami, Ino Maki, Chika et sa troupe, et le couple récurrent, divers personnages restant encore sous le code, à peine introduit mais jamais oublier, l'auteur a prévu de quoi depuis des années.
De plus humour présent, dans cette première partie tout est installé présenté, les habitudes sont prises, on finit par connaître bien l'ensemble du caste tout en découvrant qu'il peut augmenter sans déplaisir.
Arrive le final, pendant le festival scolaire. Et là s'est totalement abattu le tampon approuvé, la qualité, la déclaration. Jamais aussi grand, ou rarement n'avait été fait.
L'après, la période de transition.
Ensuite est l'après déclaration, la confirmation. Et la Kaguya surprend d'autant plus car elle va au delà, pose le couple et s’intéresse de près au protagoniste, à leur angoisse, leur peur, qui sont-ils vraiment. Comme l'envers du décor, les coulisses nous découvrons enfin. Et un nouveau socle se crée alors pour notre une histoire. Une page est tourné nous passons à la suite.
Et c'est en fait l'histoire d'Ishigami que nous suivons aussi et de tous le microcosme que l'on a découvert précédemment. Ishigami d'ailleurs un personnage plutôt, même excellent. Bien écrit, bien pensé, il est pertinent.
Son évolution nette et précise comme ses altercations avec Chika et la façon dont il devient totalement acteur de son univers. A l'opposé nous avons Iino son versant féminin, finalement encore plus complexé, encore plus en difficulté. Et le lien fort qui les unis dans leur détresse commune.
La est la suite, avec un regard sur les autres.
Mais Kaguya c'est surtout de barres de rires mythiques :
Entre le chapitre de l’hôpital mon préféré avec le meilleur médecin du monde.
Ou bien le voyage en Inde de Maki qui m'a rappelé le mien avec le guide et le "Not at all". Damned la je suis tombé par terre, c'était pas grand chose mais c'était bon.
Ou bien Chika versus les 4 empereur du Ramen. Ou Chika et les maintes entraînement de Miyuki.
Ou bien le père de Miyuki, Dio lui même,
Et Kaguya, aussi ne l'oublions pas. Enfin bon c'est riche, pertinent c'est bon.
Voilà quoi.
Ce n'est qu'une partie, maintenant qu'il y a un sujet j'ai le temps. Je vais vous polluer du Kaguya partout maintenant.
Ce n'est pas fini !