La spiritualité, oui, mais pas que.
Paradoxalement victime de son succès, il était quasiment impossible de lire Jirō Taniguchi en France sans passer par la case bande dessinée. A croire que les éditeurs de manga boudent l'auteur tant ce dernier est plus visible au festival d'Angoulême que n'importe où ailleurs. Pour preuve, et bien que l'année 2015 soit une petite révolution comme Casterman semble perdre son quasi-monopole vieux de vingt ans sur les sorties de l'auteur, la dernière œuvre du maître nippon est une nouvelle fois confiée à un (jeune) éditeur de bande dessinée. Du reste, il est à espérer qu'une telle habitude prospère comme l'édition se trouve être très belle et de bonne qualité, contrairement à ce que l'on [...] Lire la critique