Seto et Anjou, ou la recherche de différence
J'ai l'impression de radoter. De m'aigrir (de "aigre" hein. Pas question de bouffe ici). De dépit en dépit, mes critiques semblaient ne plus n'être que propos acerbes envers un genre d'animé, les romcom, qui fénéantisait méchamment. Ajoutez à cela que la plupart des séries actuelles, quel que soit le genre auxquelles elles appartiennent, semblent être de plus en plus issu de light lovel dont l'on aura jamais la fin et dont 4 tomes sur 50 auront été adaptés en anime pour les promouvoir, et vous aurez une idée de pourquoi, récemment, je me tourne de plus en plus vers les mangas. Et pourtant je ne suis, ou plutôt n'étais, pas un aficionado du support. Mais qu'importe. Je fouille un peu, je [...] Lire la critique