Les animes de l’été 2022
Quand on pense à l’été, on pense évidemment à rester chez soi dans une pièce sombre à regarder des animes. C’est pour cela que le staff d’Anime-Kun vous a préparé un cahier de vacances avec une sélection des séries, films et autres productions à suivre cette saison. N’hésitez pas à vous exprimer dans les commentaires pour nous dire quels animes vous attendez le plus !
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Les conseils de Deluxe Fan
Même si l’automne semble être la saison à attendre cette année, on n’a pas manqué d’animes à regarder ces derniers mois. Et l’été qui vient va poursuivre cette tendance d’une industrie qui se repart en forme après la pandémie.
Commençons par les adaptations, qui forment toujours le gros du planning. On remarquera en particulier la saison 2 de Made In Abyss, qui fait suite à la très remarquée série de 2017 et au film de 2020. Mais ce qui attire le plus attention ce sont ces adaptations de vieux mangas oubliés qui sortent de nulle part. Ainsi on aura droit cet été à Hoshi no Samidare, adaptation du manga de Satoshi Mizukami datant de 2006. Les fans de l’auteur réclamaient un anime depuis plus de quinze ans et ce sera chose faite, même si au vu du staff annoncé et du trailer diffusé, heureusement que le manga est bon parce que l’anime n’ajoutera pas grand-chose. Autre incongruité, le manga de dark fantasy Bastard!!, qui a fait ses débuts dans le Shônen Jump en 1988, sera adapté en série ; une première pour cette licence qui jusque là n’avait connu que des OAV dans les années 90. Cette nouvelle série étant produite par Netflix, on se demande toutefois si le ton « adulte » qui a fait la célébrité du manga sera respecté…
La saison sera étonnamment riche en séries originales, avec quelques têtes d’affiche. Yurei Deco est la nouvelle série de Science Saru, qui se déroule dans un monde où le statut social des citoyens dépend du nombre de likes qu’ils obtiennent sur les réseaux sociaux. Un thème connu mais qui sera traité par Dai Satô, un des plus célèbres scénaristes de la japanimation qui enchaîne les projets dernièrement, lui qui avait presque complètement quitté le milieu il y a quinze ans. En parlant de Science Saru, je suis très surpris et heureux d’apprendre l’existence de Yojohan Time Machine Blues, un anime qui fait suite à une de mes séries préférées de tous les temps, The Tatami Galaxy, écrite par Morimi et qui sera réalisée par Shingo Natsume (!!!). Autant dire qu’il s’agit instantanément de l’anime que j’attends le plus de cette année, oui devant le Gundam et même devant Bleach.
Il y a quelques autres projets qui attirent mon attention, par exemple Cyberpunk Edgerunners du studio Trigger qui mêle le chara-design de Yoh Yoshinari et l’univers du jeu vidéo de CDProjekt pour un résultat que l’on attend avec circonspection ; mais ça ce sera en septembre sur Netflix. En attendant on pourra regarder Bucchigire, une création originale du studio Geno avec des samurais aux cheveux colorés qui se battent avec des sabres et des pouvoirs. Le style graphique est intéressant mais le contenu fait penser à une mauvaise imitation d’un shônen milieu de gamme, je vous laisse juge. On aura également Engage Kiss, dernière bouffonnerie gonflée de pognon de Aniplex, dont la bande-annonce fait penser à Guilty Crown mais encore plus racoleur et vulgaire ; ça promet.
D’habitude l’été c’est aussi la saison des films ; sauf que cette année le planning est léger ; il faudra attendre novembre pour le nouveau Shinkai. On aura tout de même One Piece RED, énième long-métrage de la franchise, qui profitera de l’activité bouillante autour de la licence dont l’auteur du manga a officiellement annoncé l’entrée dans l’arc final il y a quelques jours.
Voilà pour ma sélection de l’été, en vous souhaitant une excellente saison à tous.
Deluxe
L’unique anime de Sacrilège
Très peu de nouveautés qui concordent avec mes goûts cette saison. Je vais donc me focaliser sur le seul anime qui aura attiré mon attention, et ceux qui me connaissent vont très vite comprendre pourquoi.
KJ File – Kaijû un jour, Kaijû toujours
Il est question de KJ File, avec KJ comme kaijû, ces créatures étranges et monstrueuses qui puisent leurs racines dans la mythologie asiatique.
Nous sommes au début des années 1900 après qu’une météorite soit venue violemment frapper l’Extrême-Orient. Le choc a évidemment eu de multiples et lourdes conséquences sur la Terre, dont le réveil d’énormes monstres, endormis depuis des milliers d’années, qui ont émergé de leur sommeil avec la fin au ventre et l’humanité comme garde-manger.
L’organisation du monde entier a du être repensée pour faire face à ce grand danger d’extinction, en combattant et tuant le plus de créatures possible. Hélas, nous n’étions pas de taille et la population mondiale a été réduite drastiquement jusqu’à la découverte, quelques décennies plus tard, d’un dispositif de contrôle des monstres par ultrason, permettant de cohabiter avec eux plus que de les tuer. La Kaiju Watchers League of Nations est née.
On retrouve une grande partie du staff ayant travaillé sur les saisons de Yamishibai Japanese Ghost Stories : la diffusion sur TV Tokyo, ILCA aux manettes (aidé du petit nouveau yell), Akira FUNADA à la réalisation (qui avait précédemment réalisé la saison 7 de Yamishibai puis Ninja Collection, le spin-off de Yamishibai passé inaperçu en 2020), ou encore Sasagi MITSUHI au script, qu’on avait détecté au même poste sur plusieurs saisons de Yamishibai (6, 7 et 9).
Des premiers visuels sont déjà sortis, notamment les illustrations des principaux kaijû qui seront présents dans la série, mais il faudra attendre le mois de juillet pour découvrir les épisodes de cette prise de risque du studio. Pour autant, même si les antagonistes principaux changent de leurs habitudes, nous resterons sur l’univers du yamishibai, à savoir des épisodes courts sous la même forme que les saisons qui ont fait le succès du Theatre of Darkness.
Ce sera tout pour moi pour cet été même s’il est possible que de la lecture d’autres synopsis me fassent changer d’avis sur ce que j’aurais pu louper.
Sacrilège
Les recommandations de RadicalEd
Après un printemps dominé en large partie par les comédies avec, à son sommet, un Spy X Family qui semble avoir fait l’unanimité, la saison d’été amène son lot de nouveautés. Comme toujours, la production est dominée par les adaptations de manga, suivis des adaptations de LN et, finalement, le reste qui regroupe en général les œuvres originales, les adaptations de jeux vidéo, les remake de vieilles licences etc… Il y a, comme à l’accoutumée, pas mal de choix dans les styles privilégiés du moment comme la fantasy/isekai ou la comédie mais il serait judicieux pour l’industrie d’essayer de se renouveler un peu plus.
Pour commencer par les adaptations de LN, la tendance de ces dernières années se confirme avec des studios qui cherchent à avoir des licences à faire vivre et permettent des revenus réguliers plutôt que des adaptations ne comportant qu’une saison publicitaire avant de tomber dans l’oubli. Madhouse et J.C. Staff proposeront donc respectivement la saison 4 de Overlord et de DanMachi que l’on ne présente plus. A noter que pour DanMachi, cette saison sera centrée sur les aventures à l’intérieur du donjon qui avait été laissé un peu de côté depuis la première saison.
De même, d’anciennes licences qui avaient eu du succès mais avaient été abandonnées au bord de la route font leur retour : Hataraku Maô-sama!! (The Devil Is a Part-Timer) chez Studio 3Hz et Classroom of the Elite chez Lerche, séries dont on n’avait pas eu de nouvelles depuis respectivement 8 et 5 ans. Les fans ne croyaient d’ailleurs plus à ces suites, en particulier pour Classroom of the Elite car les modifications apportées lors de l’adaptation avaient pas mal éloigné l’histoire de celle du support original : il sera intéressant de voir les contorsions scénaristiques utilisées pour recoller tout ça… Concernant Hataraku Maô-sama!!, l’attente était surement due au fait que White Fox n’était pas disponible pour produire la suite, Studio 3Hz récupère donc le bébé avec une nouvelle équipe à la production, il reste maintenant à déterminer s’ils pourront soutenir la comparaison avec la première saison. Cependant, pour rattraper cette longue attente, la série est d’ores et déjà annoncée comme un « split cours » avec une saison 3 à l’hiver 2023.
Les adaptations de manga continuent leur chemin avec, en particulier, la suite de Made in Abyss : Kinema Citrus continue l’histoire où le film « Dawn of the Deep Soul » l’a laissée, c’est à dire après le passage du point de non-retour dans l’Abysse. Le succès des aventures de Reg et Riko à l’écran, justifie que l’on conserve la même équipe pour cette suite qui va nous amener encore plus loin dans le domaine de l’étrange. De même, la suite de Shadows House chez CloverWorks était à la fois attendue et redoutée à cause des libertés prises vis-à-vis du manga, mais l’affiche semble indiquer que la série va repartir directement sur les évènements « expurgés » de la première saison. Reste à savoir si l’équipe arrivera à recoller au manga sans trop d’incohérences…
Au niveau des nouvelles adaptations, on notera surtout Samidare, un seinen manga de Mizukami Satoshi qui attendait une adaptation depuis bien longtemps. Cette adaptation sera faite par le studio NAZ (Hamatora, ID: Invaded) et dirigée par Nakanishi Nobuaki (Koihime Musô). J’ai peu d’espoir que l’équipe réunie sur le projet – et qui semble, pour une partie de ses membres, assez peu expérimentée – soit à la hauteur des attentes. Je m’attends donc à une déception mais j’espère me tromper.
Kinsô no Vermeil – Horny soit qui mal y pense
Côté manga ecchi, Kinsô no Vermeil (Vermeil in Gold) va faire son entrée. Adaptation d’un shonen manga de Kôta Amana et Umezu Yôko, il raconte une histoire très classique, bien dans l’esprit des LN actuels. Dans une école de magie, Alto Goldfilled doit invoquer un familier pour pouvoir passer sa première année mais se retrouve à invoquer la démone Vermeil. Les démons, d’anciennes créatures aux puissants pouvoirs magiques, sont censés avoir disparu. Elle doit donc se dissimuler mais son apparence humaine et son physique avantageux ne passent pas inaperçus au sein de l’école. Cette série sera proposée par un nouveau studio, Staple Entertainment, qui va probablement essayer d’impressionner un peu pour sa première production, mais qui risque de se prendre les pieds dans les contraintes infernales des plannings de l’industrie. A la réalisation, on trouvera donc Naoya Takashi (3D Kanojo, Token Ranbu) assisté par Asami Matsuo, qui, comme le reste de l’équipe, ne me semble pas particulièrement notable. Cependant, le projet qui mélange quand même pas mal des ingrédients attendus (action/comédie/romance/ecchi) bénéficie d’un certain capital sympathie à priori.
Yofukashi no Uta – Nuits canines
Enfin, au niveau de la case Noitamina, on aura droit à Yofukashi no Uta ou « l’Appel de la Nuit », qui adapte un manga de vampire de Kotoyama. On suit l’histoire de Yamori Kô, un jeune garçon qui a du mal à s’intégrer à la société et qui, lors d’une sortie nocturne rencontre la vampire Nanakusa Nazuna. Cette rencontre le poussera à vivre de nuit pour la rencontrer régulièrement, ayant décidé lui aussi de devenir un vampire. L’histoire m’intéresse assez peu mais l’équipe choisie par Liden Film est composée de quelques anciens de chez Shaft ayant travaillé sur les Monogatari (Itamura Tomoyuki à la réalisation et Takizawa Izumi à la couleur), or la série est propice pour explorer des visuels créatifs de la ville de nuit ainsi que les transitions vers l’aurore : elle aura peut-être quelques originalités visuelles à proposer sur le sujet.
Pour finir succinctement, au niveau des remakes, il y a aura deux projets notables. Bastard dont la bande annonce semble assez prometteuse, qui tentera de réadapter le fameux manga de « Heavy Metal, Dark Fantasy » de Hagiwara Kazushi qui est en phase terminale de hyatus depuis des années. Encore une fois, une série produite par Liden Film mais dont la première moitié sortira d’une traite chez Netflix dès fin juin. Elle ne devrait donc pas empiéter sur leurs autres projets et cela nous permettra d’être rapidement fixé à son sujet. Chez Shaft c’est le remake d’une série d’animation américaine RWBY: Ice Queendom qu’il sera intéressant de suivre : elle aligne pas mal de noms assez connus comme un Urobuchi à l’origine du concept et Ubukata à l’écriture. La série doit évidemment s’attendre à être comparée à l’original, le public jugera donc si cette vision japonaise de la licence méritait de voir le jour.
RadicalEd
Les attentes de GTZ
Une fois n’est pas coutume le GTZ débarque poser une bafouille sur les sorties de l’été.
Mais plutôt que de vous parler des gros titres fort attendus, suite de séries à succès, ou d’adaptation de manga mythique sur lequel on reviendra en fin, je vais plutôt vous parler de l’inattendu, de l’anecdotique, sur lequel pas même Roger qui n’a jamais gagné au tiercé n’oserait miser.
Saikin Yatotta Maid Ga Ayashii – La Maid Chelou, Le Boss Relou
Saikin Yatotta Maid ga Ayashii en fait partie. Que l’on pourrait traduire par «La nouvelle Maid que je viens d’engager est suspecte », Saikin Yatotta pour gagner du caractère est un manga de Konbu Wakame. Au départ une bafouille sur Twitter qui finit par être officiellement publié par le Gangan Joker. L’auteure est connue pour avoir posé deux trois autres bafouilles aux qualités variables, dont Jahy – publié dans le même magazine – qui a été récemment adapté avec plus ou moins de succès. Ce récit porte bien son nom, il parle d’un jeune garçon, qui semble vivre seul dans son manoir et qui reçoit un beau jour la visite d’une jeune femme. Cette jeune femme se présente comme Maid, et a pour tâche de s’occuper du domaine du noble en devenir. Et s’en suit deux trois historiettes où l’écolier l’observe en cachette pour découvrir son secret, car elle est « suspecte ». Cela amène deux trois passages attendrissants, où le jeune garçon, plutôt direct, embarrasse sa jeune servante par ses déclarations d’amours à peine camouflées. Un slice of life qui ne fait pas de mal et dont la seule particularité est d’avoir un personnage du même profil que Jahy, en tout cas concernant son épiderme.
L’anime est produite par le studio SILVER LINK qui possède quelques belles pièces dans sa collection, avec un beau passif dans la comédie dans le titre de Watamote, et le jeune studio BLADE, qui lui démarre par contre avec un catalogue qui n’inspire que peu la confiance. Aux manettes Hoshino Misuzu qui semble être sur sa première grosse réalisation, mais qui, au passage, a travaillé sur quelques épisodes de Jahy. Un manga écrit par une auteure, mis en scène par une réalisatrice, sur des personnages en général peu enclines à être sur le devant de la scène, Japon oblige, est le seul point que je relèverai d’intéressant. Le manga promettant peu de ce que j’en connais, il y a peu à attendre, mais une belle surprise serait fort bienvenue.
Isekai Meikyû de Harem o – Sex Maniac Isekai
Place maintenant au total opposé, une série pour le coup anecdotique mais correspondant bien à notre époque. Peter Grill a eu droit à son adaptation, Redo of Healer et ses scènes explicites aussi, de même pour World End Harem, donc il y a un véritable marché. Autant y aller à fond et sortir les gros arguments.
Isekai Meikyuu de Harem wo est le titre tout désigné. Série adaptée d’un manga lui-même adapté d’un Light Novel douteux, mettant en scène un jeune homme, qui une fois suicidé se retrouve Isekaisé. Même plus besoin de Camion-Kun, on prend l’allée direct c’est tout droit. Isekaisé comme à l’usuel dans un monde fantaisiste, dans lequel notre protagoniste est fort avantagé. Et jouant sur un registre un peu, voir beaucoup, dérangeant, mais commun a pas mal de titres du même genre, pour s’aider à faire des donjons, notre jeune homme plein d’hormones, se prend des esclaves, des esclaves sexuelles. Cela est plus ou moins explicitement dit, qu’en plus d’être utile sur le terrain elles le sont aussi au pieu, et tout cela dans un consentement tacite, un consentement d’esclave, elles sont formées pour. Le manga n’a pour le moment introduit que deux esclaves, mais y en aura pour tous les gouts. Oui je « lis » ça, oui j’ai honte. Donc on a du donjon, de la baston, et des passages fort explicites et du management car faut pas déconner, d’ailleurs cette part prend beaucoup de place dans l’histoire. La rendant pesante, extrêmement redondante en plus d’être moralement à la rue. Donjon, sport nocturne, gestion des skills et du domaine en devenir, et on recommence.
Pour nous faire l’honneur de nous adapter cette série aux grandes aspirations libertaires, on a le studio Passione (y a surement un jeu de mot dans tout ça), qui a quand même tiré de jolies cartouches par le passé, comme un Rokka no Yusha, mais qui s’y connait aussi dans le domaine traité, Interspecies Reviewers étant leur première entrée sur ce marché.
Aux manettes on retrouve avec grand plaisir Tatsuwa Naoyuki qui a travaillé sur l’extraordinaire Dakaichi My Number 1, qui fut longtemps une des fiches les plus visitée sur Anime-Kun. J’imagine que les gens s’impatientent de voir sa prochaine œuvre, que dis-je son chef d’œuvre.
Amateurs à l’affut, j’imagine que cette série trouvera facilement son public.
Hoshi no Samidare – Si j’avais un marteau…
Pour finir, un bon mot sur Hoshi no Samidare, que l’on connait plus en Gaule sous le titre de Samidare Lucifier and The Biscuit Hammer. Une adaptation très attendue, en particulier par moi, depuis bien des années, d’un manga référent, en tout cas pour moi, de Mizukami Satoshi. Si vous ne l’avez pas lu, courrez le faire, vous le trouverez chez tous les droguistes de qualité, c’est un shonen majeur, une œuvre qui fait couler larmes et rires, un monument qui devrait être étudié à l’école.
C’est là que le bât blesse, au regard de l’équipe derrière cette adaptation. C’est le studio NAZ aux commandes, et il porte bien son nom, car pour le moment il a fait que des trucs nazes, dont ID:Invaded, un de leurs meilleurs titres. Vous dire le niveau. Ils sont pas connus pour une qualité extrême de l’animation même si, artistiquement parlant, ils sont parfois fort inspirés. Aux manettes Nakanishi Nobuaki, qui lui aussi n’a pas vraiment brillé par la qualité de ses réalisations, à part Sumomomo qui date déjà un peu beaucoup. C’est monsieur Koihime Musou, c’est lui qui les a toutes réalisées. Vous dire de suite que ça ne fait pas rêver. De plus, au vu du trailer déjà sorti, l’inquiétude est au plus haut. Sur cette adaptation je ne mise même pas un tome de Bleach.
GTZ
3 commentaires
Chapeau à GTZ d’avoir évoqué « Harem in the Labyrinth of Another World » qui sera diffusé en 3 versions, en fonction du niveau de censure : TV/Harem/Super Harem…
Je sais pas pourquoi GTZ déteste Bleach… Ca me rend un peu triste… Enfin Bref…
A bon entendeur…
Oo Mon com’ ne s’est pas envoyé hier ??!! Okay… Bref, j’avais écrit super travail. Ce fut très agréable à lire. Chapeau, comme souvent ! Je suis particulièrement intéressé par la saison 2 de Made in Abyss. Peu ne le sont pas. Je garderai un œil attentif concernant les retours de la maid chelou et du boss relou. J’espère pouvoir mettre cette série en haut de ma liste car elle sent bon ma came. Je crois que je ne l’avais pas encore remarquée. Tant de choses à voir et à revoir car chez moi suites égales souvent relecture de(s) saison(s) précédentes ! C’est d’ailleurs pour ça que je finis par attendre des années (et que je suis encore là!). Merci encore pour votre travail. J’espère que vous allez continuez encore longtemps ;)