City Hunter, de Tsukasa Hôjô – Tome 19
Ryo termine sa mission de protection d’une directrice d’édition qui s’avère être la sœur de Kaori… Avant d’enchaîner sur une mission un peu étrange, puisqu’il s’agit de protéger une adolescente de ses prétendants.
Rien à jeter dans ce nouveau tome : Hojo maîtrise à la perfection l’art de la connivence et parvient à déclencher l’hilarité du lecteur sans jamais faire insulte à son intelligence. Cela fait deux tomes désormais que les dessins atteignent la perfection (auparavant, on était juste en dessous). On rit devant les mimiques incroyablement détaillées tout en admirant les portraits en pied et l’harmonie des planches. Quant aux scenarii, toujours aussi improbables, ils sont menés avec désinvolture et talent. Idéal pour oublier le froid !
Un classique qu’il faut connaître, et qui a largement contribué à l’évolution du manga.
Edité par Panini. Prix : 9,95 euros.
L »image provient du site de l’éditeur.
2 commentaires
En plus les scènes marrantes avec la massue de Kaori et le Mokkori de Ryo sont inoubliables ^^"
Mais dans City Hunter il a su allier tous les thèmes pour faire un véritable titre culte selon moi.
Oui, il sait bien dessiner les femmes et leurs formes, mais les hommes ne sont pas en reste. Certains portraits de Ryo sont tout simplement sublimes.