The Arms Peddler T4 – Epée et livre
Notre trio étant arrivé chez la marquise, la surprise est néanmoins de taille. La vampire aux allures nobles veut une arme … pour tuer ses semblables ? Autant dire que cela pose quelques interrogations. Mais pas de temps à perdre et nos héros doivent alors se rendre dans la ville … qui a été ravagée par un cerbère ? Rapidement mis en déroute, les explications ne sont plus de mises pour Garami et ses compagnons. La nuit va être longue, très longue même.
Mais on peut aussi s’interroger comme Sona sur Garami. Voyant qu’elle n’est pas là, l’adolescent s’approche de l’épée que la jeune femme porte continuellement. Une main gravée sur la garde, des grognements qui émanent de l’arme, autant dire que celle-ci est louche, très louche ! Et ce n’est pas plus rassurant de savoir que Garami se met en colère quand elle voit Sona qui s’en est rapproché un peu trop près.
Et comme si ça ne suffit pas, la princesse Airi est portée disparue. Dans le genre boulet, on aurait pu s’attendre à ce que ça soit Sona qui le soit pour Garami mais il s’avère que la princesse est bien plus forte dans ce domaine. Elle ne doit son salut que grâce à l’intervention de Sona avec l’arme que lui a prêtée Garami. Garami qui, de son côté, décide d’interroger la marquise au sujet d’un livre : le livre des clés. La raison des « cris » qui sortent de l’épée de la jeune femme aux cheveux argentés.
Bien entendu, tout est loin de s’arranger. Airi qui se fait capturer par les enfants tués par les vampires, eux-mêmes maintenant nommés dévoreurs de vampires, Sona qui tente de la récupérer et Garami qui va tout faire pour récupérer ce libre, autant dire que les ennuis sont bien présents. Surtout qu’en vue du sceau gravé sur l’épée de Garami, la marquise pose une question intéressante : depuis combien de temps Garami vit-elle ? Une étrange question mais qui nous permet de comprendre pourquoi Garami semble si différente des autres.
A croire que les paroles de Sona avant de rentrer dans la forêt au précédent tome risquent bien d’être véridiques. Si on cumule tout ce qui se passe dans le volume, qu’on rajoute le fait que les chasseurs de primes du tome 3 soient devenus des vampires, qu’Airi est face au vampire responsable de tous les problèmes causés dans la forêt, autant dire que ce n’est pas joyeux. Mais cela uniquement pour nos personnages car du côté du lectorat, autant dire que l’on est ravi de voir que de nombreuses voies s’offrent à nous.
Il faut se dire qu’apprendre que Garami n’est pas humaine car l’un des vampires a pu gouter à son sang est une bonne chose. Si on rajoute les runes qui apparaissent sur son visage lorsqu’elle décide d’extraire son épée dont la lame est plus noire que la nuit, la fin de ce quatrième volume a tout pour plaire. En conclusion, ne nous leurrons pas. Par rapport aux précédents tomes, la fin de ce quatrième volume est tout simplement divine. Je ne peux qu’espérer, personnellement, avoir bien plus d’informations au sujet des runes apparues sur le visage de Garami mais aussi en apprendre plus sur ce qu’elle est réellement. Sachant que nous avons presque rattrapé les parutions japonaises, l’attente va être longue, très longue malheureusement.
Disponible depuis le 30 août 2012 aux éditions Ki-oon. Prix : 7.65€
2 commentaires
Merci pour cet article et cette news concernant l'attente éventuellement loonnnngue concernant le prochain tome... Fichtre alors! (la mort dans l'âme je m'y résigne mais je me dis que je ne suis pas le seul dans ce cas là ) ;)