Critique de l'anime Danshi Kôkosei no Nichijô

Une tranche de vie qui dépeint des lycéens dans des situations que je considère plus comme « collégiennes ». Un mélange d’anecdotes « réalistes » et délirantes.

Je ne cacherais pas que ce qui m'a poussée à regarder cette série, c’était pour m'aider à faire « mon deuil » de Gintama et pour entendre encore une fois les doubleurs ♥Tomokazu Sugita♥, Kenichi Suzumura et accessoirement Akira Ishida, Yuu Kobayashi.

L'atout majeur de cette série, c'est qu'un épisode est fractionné en plusieurs histoires. Un petit vent de fraîcheur et de diversité qui fait que l'ennui ne se pointe presque jamais.

Les 12 épisodes sont à consommer avec modération, car là où certaines conclusions auraient fait mouche en format papier, elles se transforment en lacunes de timing dans l'anime. Ce n'est pas tout le temps comme ça, la majorité des gags fonctionnent très bien, mais une trop longue attente s'instaure pour présenter un final qu'on a trop le temps de voir venir. Il y a aussi une trop grande inégalité entre chaque épisode. Certains sont vraiment excellents du début à la fin,alors que d'autrespeinentà faire sourire.

S'il n'y avait pas besoin de regarder les épisodes dans l'ordre (pour bien assimiler l'histoire), il y aurait même moyen de faire un classement pour que cette comédie soit un « crescendo de bidonnade ».

Danshi Kôkosei no Nichijô a été un vrai coup de cœur, un régale de regarder des histoires qui rappellent du vécu (même si cela n'a jamais été aussi drôlement concrétisé) et pour ceux qui tout comme moi aiment rire auxlarmes, les quelques moments qui proposent ces explosionsde rires valent le coup de s'ennuyer quelques instants.

Un mélange d'originalité et de banalités pour un bon divertissement.