Crime and Punishement
Sur un son d'Ado je commence cet écrit.
Mais qui est Ado : une petite recherche google répondra à votre question.
Mais techniquement sa musique renseignera votre interrogation.
DDDDDDDD Destruction est une histoire simple pour celui qui veut bien le concevoir. Une bande de jeune filles faisant fi du monde existant, de la misère, de la colère, du désespoir que l'on peut voir juste en allumant notre télévision ou juste notre application, vivent leur vie. A l'égale de notre ignorance de tout à chacun(e) qui "vivons" - et non pas survivons - pour ceux ou celles qui ont la chance de vivre dans les territoires non occupé encore par la haine, la guerre ne nous ayant pas encore touchée intimement. L'ignorance de la souffrance est le maître mot - elles vivent Pleinement-.
Sur un rythme simple, un chara design que certain(e)s pourraient désigner comme moesque ou léger, se situe notre histoire.
De ceux qui ne veulent voir, qui vivent leur vie, oblitérant le reste du monde - car la vie est dure sans même la parcourir en mode difficile tel un Sato San-, acceptant juste une Ontan en tant que grande guignole, pour le fun et la mignonerie, comme l'ennemie. Car il a beau ressembler à ce qui de plus simple, s'il est considéré comme dangereux qu'importe son apparence, l'ennemie est l'ennemie, il suffit juste de le désigner comme tel. Et tremblons, inconséquents que nous sommes à cautionner chaque fois dans notre vie la violence qui se déroule comme le grand menu devant nos esprit, chaque jour que nous respirons pour ceux et celles qui n'ont pas s'inquiéter de manquer d'eau.
Mais de quoi parle le GTZ ?! Fu**** moralisateur ? Wokiste désarbré ?! Gauchiasse déstructuré ?!
Et Pourtant par sa justesse, sa simplicité, DDDDDDDDestruction nous démontre sans même nous bousculer, sauf les incontinents, que même la meilleure des humanités ne peut empêcher de bien trier ses déchets si on n'a pas été éduqué à le penser, à concevoir juste que l'autre existait.
Un chara désign "enfantin" il est vrai, mais une mise en scène parlante, évoquante pour celui ou celle qui se projette un minimum dans ce possible. Sans évoquer les divers acteurs(trices) qui constituent cette fresque du vivant. Ce grand frère, cette image réadapté, réévalué, ce soldat qui a un seul moment s'est rappelé ce pour quoi il se battait, cette journaliste écrasée qui en fait ne voulait parler que de vérité, ce jeune homme, dont la haine n'avait besoin que d'une perte pour exister, et cette enfant qui ne souhait que la paix. La folie est dans tout un chacun.
Ignorer est cautionner.
Heureusement tout ceci n'est que fiction.
Car la réalité la dépasse largement.
Cela tous le monde le sait.
Nous vivons dans ce monde de destruction et nous en satisfaisons bien.
...
Pour certain(e)s...