C'est un Macross : des mechas, des chansons et un triangle amoureux. Bref l'histoire se répète comme pour les opus précédent avec une nouvelle race alien en guise de méchant.
Le dénouement de la série se fait au fil d'épisodes sans surprise.
Par contre, l'action se lâche comme jamais : des scènes... pardon des ballets de combat superbement réalisé avec explosions en pagaille, nuée de balles traçantes et mecha sous amphét, tout çà est très jolie même si vers la fin on commence un peu à s'en lasser.
Alors pour ceux qui aiment les carnages spatiaux sur musique pop-galactik avec une petite histoire d'amour bien nunuche qui prends pas trop place entre 2 massacres à la tête nucléaire : cette anime est pour vous.
Les plus : qualité graphique (pour les scènes d'action notamment), le côté "space-opera" (goût purement personnel)
Les moins : les personnalités, pour une série où les chansons sont fortement mises en avant je trouve qu'elles sont pas-du-tout-varié, l'intrigue, le dénouement (qui rappellera la saison de la série "Charmed" avec les avatars).
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Infos sur l'anime
Macross Frontier
Ce volet de la série Macross se passe quelques décennies après la bataille qui opposa les humains à la race géante des Zentraedis. L'humanité, dispersée en diverses flottes, cherche des planètes viables afin de s'y installer. C'est la mission du Macross Frontier où vivent en harmonie des descendants deux races. Il doit composer avec les attaques de plus en plus pressantes d'un nouvel agresseur dont on ignore à peu près tout, les Vajra.C'est dans ce contexte particulier qu'un jeune cadet, Alto Saotome, fait la connaissance de Ranka Lee. L'un fuit sa famille d'artistes pour devenir pilote alors que l'autre entretient le rêve de devenir chanteuse et est une fervente admiratrice de la star en provenance du vaisseau Macross Galaxy : Sheryl Nome.Ce tryptique va devoir faire face rapidement à des choix parfois douloureux, un passé encombrant, des machinations dont ils sont les jouets et avant tout lutter pour survivre face à cette étrange race particulièrement sensible à ce que l'on appelle Proto-culture ou Deculture.