Une histoire de mains.

Y a des fois on a envie de voir de la crotte mais pas n'importe quelle crotte.

Reste cette fibre en nous, libidineuse de sur-croix qui nous fait nous tourner vers des produits plus ou moins douteux pour satisfaire un désir plus ou moins (plus ou moins) pervers.

Voilà pour l'auto-justification, désuète histoire de faire l'intellectuel, parlons franchement.

Shinmaï Mao no machin fait son travail et bien plus encore. Le publique habitué(e mais je doute un peu), celui qui sait de quoi ça parle ici, qui sait quoi qu'y regarde, y s'attendait pas à cette came là. Si, si Michelle (ou Michelline), il en a vu des trucs suspects ou spirituels sur la question. Mais y s'attendait pas que ça y foutent les mains bien dedans.

C'est de ça qu'il est question, des mains. Du savoir faire, ancestrale qui plus est, du malaxage, de boobies.

Voilà quoi. Le mec y connait son affaire, y sait y faire, dans quelle position, et si cela ne convient pas, polyvalent qu'il est il sait malaxer le croupion, avec compétence et conviction.

Le reste habille tant qu'y faut, est suspect aussi dans la matière, parlons en, y a des trucs pas net dans cette anime, dont des passages vachement suspects dans des casiers ou sur des canapés. On la regarde on se pose des questions, sur nous même tout ça, si le FBI y va pas débarquer pour nous arrêter.

Vachement sournois le bordel, c'est japonais quoi, putain qu'il est rasciste ce GTZ.
C'est sociologique, y a des gens y z’écrivent des papiers sur ça. Bon je l'ai pas regardé pour rien, l'idée primaire a été largement contenté, l'horreur est en fait de la cautionner.

Damned, là d'un coup je me pose de vrais questions...