Une histoire de mains.
Y a des fois on a envie de voir de la crotte mais pas n'importe quelle crotte. Reste cette fibre en nous, libidineuse de sur-croix qui nous fait nous tourner vers des produits plus ou moins douteux pour satisfaire un désir plus ou moins (plus ou moins) pervers. Voilà pour l'auto-justification, désuète histoire de faire l'intellectuel, parlons franchement. Shinmaï Mao no machin fait son travail et bien plus encore. Le publique habitué(e mais je doute un peu), celui qui sait de quoi ça parle ici, qui sait quoi qu'y regarde, y s'attendait pas à cette came là. Si, si Michelle (ou Michelline), il en a vu des trucs suspects ou spirituels sur la question. Mais y s'attendait pas que ça [...] Lire la critique