Kakurenbo

Kakurenbo c'est une histoire de cache-cache améliorée juste pour les enfants. Tout se passe dans une grande ville sombre bien mystérieuse. Il y a des règles particulières comme le fait que chaque participant doit porter un masque de renard et la rumeur qu'à chaque fois que des enfants y participent, ils disparaissent. Soit disant que des démons sont derrière tout ça. L'ambiance proposée dans le synopsis est bien retranscrite dans les décors qui sont réellement soignés, les couleurs sont de la même trempe alternant le sombre et la lumière sans jamais jurer. Le tout prend quand même un coup lorsque la musique s'en mêle, elle essaye d'être mystérieuse puis de faire peur par moments mais [...] Lire la critique

A mon Kakurenbo possède une véritable personnalité et n'est pas seulement un produit destiné à faire valoir sa technique avant tout le reste. En fait ce qui m'a marquer quand j'ai regardé cet anime c'est avant tout son ambiance vraiment sombre et mystérieuse, en fait on ne connait pas du tout les persos (en plus il porte des masques) mais leur partie de cache-cache est très sympa à suivre. Tout d'abord on ne sait pas trop comment se déroule le jeu et en plus de mystérieux évenements trouble la partie et tout nos petits persos commence à flipper, ces sensations sont bien rendues ce qui intensifie la lourdeur de l'ambiance. En bref un petit anime sympa techniquement très abouti et qui [...] Lire la critique

kakurenbo signifie "cache cache", autant dire que tout le programme de cette oav se trouve dans le titre. De scénario, il ne faut pas en parler. Le studio Yamato-works le reconnaît lui-même, kakurenbo est avant tout une vitrine technique pour se faire connaître. Les membres du staff font aussi partie du studio Kamikaze Douga, proche du Studio 4°C. Donc côté visuel, qu'est-ce que ça donne ? De la full 3d Cell Shading, pourquoi pas, c'est assez agréable, même si l'on a l'impression qu'il ne manque que la manette pour entrer dans le jeu... Les personnages portent des masques, cela donne un côté un peu plus [...] Lire la critique