OTONARI NO TENSHI-SAMA — Incel Fantasy XVI
Nous avions déjà discuté dans un précédent commentaire de la dominance des comédies romantiques dans l’animation japonaise, et comment les studios doivent pousser la qualité pour se démarquer de la masse. Ce que nous n’avions pas abordé, c’est que de l’autre côté, le succès du genre créé un appel d’air qui pousse les producteurs à lancer tout un tas de projets pour capitaliser sur la tendance. Et comme ces producteurs n’ont pas que cela à faire d’engager des scénaristes compétents pour écrire des séries intéressantes, ils sont obligés d’aller chercher dans les tréfonds des abysses les mangas, light novels et autres machins à adapter vite fait, quitte à mettre à l’écran des séries toujours [...] Lire la critique