Princesse Sarah

Princesse Sarah

Sarah Crewe est l'élève du pensionnat anglais de Mademoiselle Mangin, réservé aux jeunes filles de bonne famille. La bonté, l'intelligence et la chance insolente de Sarah attisent bien des jalousies, mais elle essaie de les ignorer. Or, la chance finit par tourner et le destin de Sarah bascule : avec seulement quelques amis sur qui compter, elle devra faire face à de nombreuses épreuves, pour que celle qu'on appelait la petite princesse ne devienne pas à jamais la petite marchande d'allumettes...

Synopsis soumis par Elry

Sumi Shimamoto (Sarah), Eiko Yamada (Lavinia)

  • Licencié : oui
  • Titre français : Princesse Sarah
  • Editeur: TF1 Video

Critiques des membres

#Par DD069 le 15-12-2024

10
Princesse Sarah, un dessin animé culte !

Princesse Sarah (Shoukoujo Sera en vo) est un dessin animé de 46 épisodes de 25 minutes environ. Créée en 1985 par Ryûzô Nakanishi. Mais l’animé existe bien après le roman qui fut à l’origine du succès que l’on doit encore aujourd’hui par Frances Hogson Burnnette en 1888 ! Depuis, un film et un manga édité par Nobi Nobi en format One shot est sorti. Nous allons parler du dessin animé qui a ravi tout public de tout âge. Synopsis En 1885 dans l’Angleterre de l’époque victorienne, la jeune Sarah Crewe, intègre le pensionnat pour jeune fille de Mlle Mangin (Mlle Manchin en vo). L’intégration dès les premières minutes est intenable, à cause de sa séparation avec son père, refusant d’aller [...] Lire la critique

#Par Elry le 25-02-2009

5

Princesse Sarah... Voilà une critique bien épineuse... D'un point de vue objectif, la série a vieilli, aussi bien au niveau de l'animation que du character design. Sarah et Becky ont des voix françaises qui peuvent agacer certains, et la quantité de pathos présent dans chaque épisode pourrait être récolté avec une moissonneuse batteuse. Mais il est vrai qu'elle rappelle des souvenirs d'enfance, des goûters devant la télévision après l'école, l'atmosphère paisible d'une fin d'après-midi d'élève de primaire... Certes, la dimension christique de Sarah (qui ne se plaint jamais même lorsque -crime atroce!- elle ramène des pommes de terres germées au pensionnat après tout une journée [...] Lire la critique

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