Sumomomo Momomo

Un anime qui ne paie pas de mine, mais qui cache une ou deux bonnes surprises, c'est ainsi qu'on pourrait définir cette série au nom imprononçable... Inutile de le cacher, le scénario ne vole pas très haut, comme la plupart des productions actuelles, et les graphismes, l'animation et la musique ont sans surprise du mal à dépasser un niveau correct, mais ça reste malgré tout regardable. Comme dans les autres séries du genres, l'histoire suit un schéma classique: un début en fanfare avec une ribambelle de personnages qui nous sont présentés plus ou moins brièvement; suivi vers le milieu de la série d'une suite d'épisodes où rien ne fait réellement évoluer le synopsis de base, puis sur les [...] Lire la critique

Contrairement à ce qui est à ce jour la seule critique de cet animé, je dirai que Sumomo Momomo est un bon animé. Il reprend certes les ficelles du genre mais après tout ils le font quasiment tous. Le design n'est pas pire que beaucoup d'autres animés dont on ne cesse pourtant de faire l'éloge. Le force de Sumomo reste le comique par l'absurde. Absurdité des personnages, des situations, le tout amené de manière très efficace et je l'avoue c'est tout ce qu'on lui demande. C'est vrai, les habitués ne trouveront strictement rien de surprenant voire de novateur dans cet animé, c'est simplement léger. Mais un peu de légèreté dans ce monde du manga et des animés avec son flot d'hémoglobine, de [...] Lire la critique

Après avoir vu des séries hilarantes comme School Rumble ou bien Ouran High School, cette fois on a droit à une nouvelle production avec un titre bizarre intitulé : Sumomo mo momo. En voyant le trailer, je me suis dit qu'on aura un bon anime à regarder. Mais après le visionnage de 6 épisodes, le résultat était : supression du dossier de mon disque dur. Sumomo mo momo est une série Ecchi avec une héroïne lolita et qui nous casse les oreilles avec son Koushi-dono, un chara-design moche, des personnages sans aucun charisme, des scènes "humouristiques" ridicules, une utilisation abusive du [...] Lire la critique