Aujourd'hui, je vais vous parler des risques d'une classe de 41 élèves avec seulement 5 filles.
Pour résumer simplement, il y a pas assez de filles pour tout le monde. Du coup, il y a un manque profond.
D'où la recherche d'un solution afin de remédier à ce problème.
Les vraies filles de la vraie vie, c'est compliqué, ca demande du temps, et c'est dur de les partager à plusieurs.
Après de longues recherches, on a découvert la solution idéale :
[La solution] [size=8][[ pour public averti, mais rien de très choquant quand même^^[/size]
La solution c'est elle. Enfin, ce qu'on voit d'elle. Elle est très bien. Elle a trainée sur un arrêt de bus pendant une semaine. Et le gentil afficheur qui venait de l'enlever nous la offerte (avec d'autres pubs moins interressantes). Mais c'est elle qui a été choisie. Alors, voilà, elle très grande (plus grande que le poster "le grand bleu à côté d'elle... elle fait la taille d'une pub d'abris de bus quoi) et elle est très belle.
Et surtout, elle est au fond de notre salle de cours (la salle 17 pour être précis). Elle plait beaucoup aux profs aussi. Moins aux filles de la classe qui voulaient mettre le poster d'une machine à café (avec un tigre dessus, et pas de filles très dévétues... ininterressant en gros) Mais que pouvaient elles faire contre 36 hommes en rute qui venaient tous de tomber amoureux en même temps...
Le problème, c'est qu'elle plait aussi à d'autres gens d'autres classes... ils veulent nous la voler. Mais on la protégera! On donnera notre vie pour elle!
Bon, ma classe a aussi maintenant une réputatin : on est la classe de pervers ("qui affiche ouvertement ses fantasmes" comme dirait ma prof de français-philo)
Alors voilà. Que dire de plus... Je crois que à force de trainer avec des garçons et pas suffisemment de filles, on finit un peu pervers, et qu'à force de bosser, on finit également un peu atteind. (alors les deux ensemble..) Mais bon, au moins, quand on comprend rien au cours, on a quand même quelque chose d'interressant à regarder.
Mais bon, moi, je suis pas comme ça, hein! Moi, je voulais pas qu'on l'affiche! Je voulais la ramener chez moi.