Coup de gueule : Je m'emmerde et je n'arrive pas à me mettre au travail... alors pour passer le temps, voici la description détaillée de mes deux derniers rêves, bande de chanceux.
Premier rêve :
Premier acte : Apparemment je participe à une activité sportive en plusieures épreuves organisée par un de mes anciens établissements scolaires. Les épreuvent se font classe par classe, garçons contre filles. On n'est pas beaucoup, 7 par équipe au maximum. La première épreuve est une course en forêt. C'est l'horreur, ça ne fait que monter et il y a de grosses racines qui entravent notre course. Les filles gagnent cette épreuve de peu.
Deuxième acte : On nous annonce que l'on doit ramasser des cailloux (pas de précision sur le nombre) pour la prochaine épreuve, une épreuve de lancer sans doute. Je me dis que si c'était une épreuve de lancer cela se ferait certainement avec un poids pour que personne ne soit désavantagés, me vient alors à l'esprit qu'il peut s'agir d'une épreuve de force ou de "destruction" du style le gagnant est celui qui occasionne le plus de dégats à une planche de carton ou à un bloc de polystyrène expansé (je sais, c'est pas commun). Je fais donc mon possible pour prendre les pierres les plus tranchantes. Finalement tout le monde se rend au lieu de l'épreuve et la nature de celle ci nous est dévoilée : "concours de lapidation" (ricanement intérieur). En résumé chaque équipe désigne un de ses membres et celui ci doit lancer ses pierres contre le membre de l'équipe adverse, celui-ci peut abandonner et est alors remplacé par un autre membre de son équipe, une fois que tous les membres d'une équipe ait abandonnée, l'équipe adverse est déclaré victorieuse. Les pierres tranchantes ont été extrèmement efficace contre ses dames en short et t-shirt, faisant des blessures superficielles mais assez impressionnantes pour les effrayer et les pousser à abandonner.
Réveil. Ce rêve avait un arrière goût d'Higurashi no Naku Koro ni dans son côté sadique, pas vraiment déplaisant à vrai dire. J'ai été souriant et empli d'une certaine hilarité durant toute la journée qui a suivi, et c'est assez rare pour être noté.
Deuxième rêve :
Premier acte : Ma mère s'est mis en tête d'adopter une fille et fait toutes les démarches nécessaires, je vis tout ça du point de vue spectateur. Finalement, elle m'amène dans une cours d'école (typique avec des pavés, une grille toute moche et deux arbres minables) pour que je puisse recontrer la fille en question. Elle est très belle, de taille moyenne bien qu'un peu plus petite que moi, doit avoir près de 19 ans, parait antisociale (elle ne dis pas un mot, moi non plus d'ailleur) et a une belle, longue, chevelure noire (pensez à Chizuna des Lamentation de l'Agneau). Ma mère signe les derniers papiers nécessaires pour l'adoption et les remet, avec de l'argent, en main propre à une personne qui était présente, la seule autre personne à être présente en fait. Cela ne fait pas très officiel, je me demande si elle l'a légalement adoptée. Des idées pas très nettes me viennent à l'esprit, on n'est pas
vraiment frère et soeur après tout...
Deuxième acte : La deuxième partie de mon rêve met en scène un officier retenu (ou séquestré) dans une sorte d'hopital psychiatrique vétuste (je pense qu'il était censé être le père de la fille adoptée). Il est persuadé d'avoir participé à une guerre dans le Pacifique et en est visiblement traumatisé, le "psychiatre" présent dans sa chambre se contente de répéter inlassablement que tout ceci était le fruit de son imagination et qu'il ne s'était jamais rien passé de tel. Au ton monotone du psy, cela ressemble plus à un lavage de cerveau qu'à autre chose. Je téléphone à l'officier (oui contre toute logique il y avait accès) pour lui dire que je le crois et qu'il a réellement participé à cette guerre, la soeur adoptive est présente.
Réveil. La déception : je n'ai pas de soeur adoptive.
Je dois avouer que mes rêves sont devenus étrangement complexes (torturés ?) ces derniers temps... Si toi aussi tu collectionnes les rêves de Fettgans, n'oublie pas
celui-ci.
allé tro for koi.
