Dororo ou la douleur de vivre
Je ne pouvais pas, tandis qu’une prochaine adaptation se profile aux mains d’un connaisseur du shônen — Furuhashi Kazuhiro pour ne pas le citer, réalisateur de la première adaptation de Hunter x Hunter — échapper à une mise en lumière, méritée et incontournable, de l’œuvre qui a longtemps été celle que je préférais du grand Tezuka ; et peut-être l’est-elle encore à ce jour. Je n’ai jamais été friand de monstres, d’histoires effrayantes, et moins encore — s’il est possible — de récits de samouraïs. Thèmes qui me laissaient indifférents, m’inspirent toujours une relative apathie : Tezuka peut-être aura été le seul à me convaincre d’y aller diluer mes penchants, et ma curiosité ne pouvait [...] Lire la critique