« La force de l'amour paraît dans la souffrance. » - Pierre Corneille.
« Du Yaoi ? T’es bien mignonne mais ce n’est pas trop mon délire. » « Ces trucs pour fujoshi avec des viols à tout bout de champ ? Non merci. » Ces réactions sont malheureusement bien courantes lorsqu’on essaye de convaincre les gens de lire une œuvre Boy’s Love (BL), le type se traînant une réputation des moins brillantes avec les adaptations animées des séries de Shungiku Nakamura qui laisseraient presque à croire que le seul moyen de faire passer une romance homosexuelle à l’écran est que ce soit loufoque et/ou niais, et on ne remercie pas non plus les codes (seme viril et dominant prétendu hétéro, uke efféminé et pleurnicheur, sexe gratuitement violent…) qui doivent bien couvrir 80% [...] Lire la critique