Molester Man, même auteur qu'Onani Master Kurosawa, même impression un peu WTF mais effet de surprise en moins et de fait quelque peu moins emballant. Ca c'était pour la conclusion. Molester Man se veut être une lecture assez réaliste (les circonstances de son écriture expliquerait ce point), à l'instar de son petit frère OMK. Au fil de la vingtaine de chapitres composant l'aventure, on découvre le quotidien et l'évolution du personnage de Mr. Molester qui, suite à un malentendu, va découvrir la notion d'amis et d'amour. A noter qu'un personnage ayant passé le cap de l'adolescence, ça fait toujours plaisir. Chaque chapitre nous narre une nouvelle étape dans une histoire étalée sur [...] Lire la critique
Molester Man
- Auteur : YOKO
- Année : 2004
- Titre original : Chikan Otoko
- Nombre de volumes : 1
- Origine : Japon
- AKA :
- 痴漢男
L'histoire commence par ces quelques lignes postées sur un topic de 2chan :
"Ecoutez-moi tous! L'autre jour, on m'a pris par erreur pour un agresseur et j'ai fini au poste de police. Je ne plaisante pas!"
Molester Man raconte l'aventure d'un otaku de vingt ans qui, suite à cette méprise, fréquente un groupe d'étudiantes travaillant dans un restaurant familial. Il est tombé sous le charme de la demoiselle qui le prenait pour un stalker.
Synopsis soumis par Sirius
- Auteur : YOKO
Critiques des membres
#Par Sirius le 02-01-2013
L’histoire – vraie ou non – est donc inspirée d’un topic de 2chan créé par un malheureux otaku qui se fait appréhender parce qu’il suivait de trop près une jolie demoiselle. Il est pris pour un stalker alors qu’en réalité, il s’inquiétait pour elle. Molester Man s’inscrit au côté de Densha Otoko parmi ces mangas inspirés d’un déballage de vie privée sur les réseaux sociaux. On y utilise le même système de pseudonymes et le héros anonyme se voit donc affublé tout au long de la discussion et de l’œuvre du titre de « Molester ». Des croquis à l’état brut, des cases construites sans la règle, le tout à l’aide du seul crayon. Dès les premières pages, on se rend compte que Molester Man est une [...] Lire la critique