Critique avec le C de Chagrin
Quand on voit Le Monde selon Setchan, ou plutôt à travers Setchan, on se dit que le monde, c'est pas franchement rose. Ou même coloré. Mais plutôt en nuances de gris. Et pas comme dans la trilogie à succès. Dans cet univers alternatif où la voie de la jeunesse possède un véritable poids, où les idéaux sont forts, la jeune Setchan fait office d'exception, d'anomalie , presque de tare. Atsuchi, dit Akkun, est son opposé. Et pourtant, comme dans le proverbe, les opposés finissent par s'attirer, de manière fatale. Les traits sont simples, presque enfantins, et font totalement échos au scénario. On passe les détails et on ne s'attarde que sur l'important. En même temps le format one [...] Lire la critique