Série TV - 13 épisodes
SILVER LINK
L'académie Fumizuki possède un système inédit pour organiser la répartition des élèves dans les 6 classes existantes pour chaque année : ceux-ci participent tous en début de scolarité à plusieurs tests dans différentes matières, et sont ensuite répartis selon leurs notes respectives. Les meilleurs élèves rejoignent ainsi la classe A, obtiennent de nombreux privilèges en terme de matériel scolaire et de locaux (ordinateurs, sièges en cuir ajustables, salles luxueuses, thé et petits fours...), tandis que les malchanceux de la classe F étudient à même le sol, dans une salle en ruine humide et non chauffée, avec des uniformes bas de gamme...
Sans surprise, les plus mauvais éléments se retrouvent dans cette classe, mélangeant ainsi pervers, otakus et délinquants en tout genre, bref la lie de la société. Malgré tout, ceux-ci révoltés par leurs conditions d'enseignement déclarent la guerre aux autres classes via le système ESB : grâce à une technologie récente, chaque élève peut invoquer un avatar miniaturisé pour le faire combattre et, lors des défis lancés régulièrement, le vainqueur peut échanger s'il le souhaite sa place avec son adversaire dans le classement général, et donc la salle à laquelle lui et sa classe ont accès. Le hic, c'est que la puissance de ces avatars dépend des résultats scolaires de chacun plus les notes acquises lors d'interros bonus (facultatives et passées sur demande personnelle), la classe F part donc avec un handicap sérieux.
Pourtant, certains élèves du groupe réservent quelques surprises. Ainsi la jeune Mizuki Himeji possède un niveau de classe A, mais sa santé fragile l'a obligée à sécher le test de répartition (et donc à écoper d'un zéro), d'où son arrivée chez les cancres. Même problème pour Minami Shimada qui est une élève moyenne douée en maths mais qui, après quelques années à l'étranger, a perdu l'habitude de lire des kanjis et a donc du rendre une copie blanche, faute de comprendre les questions. Enfin, il y a Akihisa Yoshii qui a obtenu les pires notes de l'établissement (sans surprise dans son cas), mais dont le statut particulier au sein de l'école fait qu'il est préférable d'éviter de l'affronter de manière directe avec son avatar (mais bon, ça lui fournit plus un handicap qu'autre chose).
Que la guerre pour les études commence !