Kurokami – Episodes 2 & 3
Episode 2 :
Entre en scène le clan Tribal Ends qui était derrière l’attaque qu’a subi Kuro dans l’épisode précédent. Il est lié au clan le plus fort parmi les Mototsumitama : les Shishigami. de son côté, en rentrant chez lui, Keita trouve Kuro chez lui. Las, il la met dehors, mais pris de remords il la retrouve dans un parc. Il veut surtout en apprendre plus en ce qui concerne les doppelgänger. Il existe en fait trois « copies » qui possèdent chacune une différente quantité de Tera. Si elles se rencontrent, celle qui possède le moins de Tera meurt. Kuro en tant que Mototsumitama possède une grande quantité de Tera et existe afin de contrôler l’équilibre dans la coexistence de ces doppelgänger.
C’est à ce moment de l’explication que Tribal Ends les attaque, malgré les capacités de Kuro à se défendre contre Seiji, Keita sera grièvement blessé. Pour le sauver, Kuro se voit contrainte de passer un contrat avec lui, qui consiste à échanger leurs coeurs.
Episode 3 :
Par le contrat que Kuro a passé avec Keita, elle est obligée de rester près de lui pour que sa force se régénère. Ce rapprochement permet aussi de se synchroniser et de pouvoir utiliser une quantité non négligeable d’énergie. Alors qu’elle n’a pas récupéré, Kuro subit une attaque pendant que Keita est à l’école. Elle réussit néanmoins à s’échapper et rejoindre Keita à l’école, mais le répit n’est que de courte durée. En effet, un des professeurs de Keita est de Tribal Ends.
Pendant ce temps on apprend que les rencontres entre les doppelgänger n’est pas le fruit du hasard, mais l’oeuvre d’un homme qui est recherché par de mystérieux nouveaux personnages.
Les informations pleuvent, on rentre dans le vif du sujet de la relation Keita/Kuro. Les quelques liens entre clans commencent à s’agencer. Exceptées quelques scènes inutiles comme les essayages de vêtements de Kuro, l’histoire se met bien en place et on fait le lien avec la première scène du début de la série.
L’ensemble donne lieu à des combats à chaque épisode qui sont bien orchestrés et fluides. Mon seul souci est l’arrivée d’une « chorégraphie » de synchronisation pour Keita et Kuro, je m’en serais très bien passé, surtout que je la trouve saccadée et moche.
Pour ce qui est du chara-design, il est simple, la coiffure de Keita ne me revient toujours pas, Kuro est agréable, mais Seiji (premier « méchant » de Tribal Ends) est carrément affreux, à la limite de la chirurgie esthétique mal faite.
Les amateurs du manga seront quelque peu déçus par cette adaptation. La censure a déjà œuvré en modifiant les principes du contrat entre Keita et Kuro ainsi que la façon dont il s’opère. De plus, le héros de la série est un jeune étudiant alors que Keita est déjà programmeur dans le manga. L’atmosphère qui se dégage de la série ressemble en définitive plus à un shônen basique qu’au style seinen offert par le manga.
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