Toriko – L’influence de la bouffe qui fait mal !
On raconte … qu’il existe un animal dont le corps entier est fait de chair marbrée de bon gras et qui fond sous la langue …
Qu’il existe un arbre qui donne toute l’année des fruits tendres et juteux … des fruits à chair de homard ou de crabe royal …
Qu’il existe une source intarissable … dont jaillit un excellent cognac riche et ambré …
Un monde régi par une seule loi : Manger ou être mangé
(Couverture japonaise et française du premier tome : Deux « clones »)
Et tout cela se trouve dans le monde de Toriko, un monde où la gastronomie est reine et le cuisinier est roi. Dans ce monde, la recherche des mets les plus rares et les plus délicats est un objectif que cherche à atteindre les restaurants les plus huppés. Mais voilà, tout a un prix et pour les nourritures et boissons les plus recherchées, de nombreuses vies sont en jeu. Les restaurants engagent alors ce qu’ils appellent des chasseurs de saveurs : « Gourmet Hunter ». Ces hommes et femmes sont des êtres à la puissance démesurée, capables d’affronter les créatures les plus féroces dans des lieux hostiles pour exécuter leurs missions mais aussi découvrir de nouveaux goûts.
Chef cuisinier : SHIMABUKURO Mitsutoshi
Né le 19 mai 1978 à Okinawa, Mitsutoshi est connu au Japon depuis 1996 où il a fait ses débuts dans le Weekly Shonen Jump et gagné aussi le prix Akatsuka du meilleur scénariste de manga. Seikimatsu Ledeader den Takeshi ! est sa première œuvre en 24 volumes, stoppée à cause d’une sombre affaire liant Mitsutoshi à de la prostitution juvénile, ce qui a forcé la Shueisha à arrêter son manga. Néanmoins, deux ans plus tard, il publie un manga du nom de Ring en trois volumes pour enfin sortir Toriko en 2008, toujours en cours avec 21 volumes sortis à l’heure actuelle. Il est bon de savoir que Misutoshi est aussi ami avec une personnalité reconnue dans le monde du manga : ODA Eiichiro, l’auteur de One Piece. Cela fut visible par un chapitre spécial crossover Toriko X One Piece pour célébrer l’arrivée du dessin animé de Toriko sur les écrans japonais. D’ailleurs, un épisode spécial basé sur ce crossover fut sorti en même temps.
Restaurant : Cinq étoiles ou kebab au coin de la rue
L’univers de Toriko est divisé en deux parties : Le monde humain et le monde gourmet. Alors que le premier est d’une taille ridicule par rapport au second, c’est pourtant là que se trouve la globalité des humains comme son nom l’indique. Ainsi, les mets les plus rares et délicieux se trouvent dans le monde gourmet, peu connu et arpenté par les Gourmets Hunter. Mais pas seulement ! On ne parle pas uniquement de nourriture, mais aussi de zones naturelles des plus dangereuses, peuplées de monstres immenses défiant l’imagination.
Mais alors, comment est-ce que les humains font pour vivre dans ce monde dirigé d’une spatule de fer et où l’art culinaire règne en maître ? Tout simplement grâce à différentes organisations. Bien que ça n’en soit pas une à proprement parler, les « Gourmet Hunter » sont des hommes et femmes spécialisés dans la récupération d’ingrédients. C’est donc ainsi des êtres « phares » dans l’univers de Toriko. Sans eux, aucun ingrédient, aucun ingrédient équivaut donc à aucun repas. Ainsi, ce sont ces personnes qui sont sur le terrain, et qui en même temps, ont une influence sur l’économie mondiale. Les Gourmets Hunters, en plus d’accepter des missions de récupération d’ingrédients rares, sont souvent en quête personnelle pour composer leur « menu ultime », celui qui leur amènera l’eau à la bouche.
Juste une partie de la Gourmet Corp. Impressionnante, non ?
Sauf que … il ne suffit pas d’avoir des personnes compétentes pour avoir les ingrédients. Il faut aussi des personnes compétentes pour gérer tout cela. C’est ainsi que fut créé l’OIG : Organisation Internationale des Gourmets. Régissant ce beau monde, même les rois et présidents des différents pays se plient à leurs consignes. Mais ce n’est pas seulement une question d’ordre économique, de puissance ou politique. Car oui, l’OIG est aussi composée de plusieurs équipes scientifiques qui tentent de créer des clones d’espèces disparues pour permettre de goûter à nouveau à leurs saveurs. Ainsi, on peut considérer l’OIG comme un peu la « police » du monde des humains mais avec plusieurs branches.
Et qui dit « police » dit « criminel ». Et la bouffe, c’est sacré ! C’est pourquoi quand on apprend que certains robots n’hésitent pas à tuer toutes créatures ou personnes sur leurs passages, juste pour obtenir un ingrédient rare, il y a de fortes chances que la Gourmet Corporation soit derrière tout ça. Préférant utiliser des robots nommés tout simplement GT Robot qui ont une apparence humanoïde avec un long bec, la Gourmet Corporation n’aime pas se déplacer en personne, sauf en de rares moments. Quand ils veulent quelque chose, ils l’obtiennent … qu’importent les moyens utilisés.
Mais tous, que cela soit Gourmet Hunter, OIG ou Gourmet Corp ont majoritairement un seul et même objectif : l’ingrédient God. Trouvé par le légendaire Gourmet Hunter Acacia, l’ingrédient God est une nourriture divine, comme son nom l’indique. God fut utilisé pour mettre fin à un conflit de plus d’un siècle de guerres incessantes dans le monde des humains. Autant dire qu’une telle nourriture fait des envieux, beaucoup d’envieux. Mais peut-être que certaines personnes ont bien plus d’informations que d’autres à ce sujet ?
Les différents platagonistes : Toriko et sa bande
Toriko : Comme son nom l’indique, il est le héros du manga. Loin de l’adolescent tête brûlée que l’on peut voir dans une majorité de shônens actuels, Toriko arbore une carrure des plus imposantes, aime l’alcool et la nourriture et est déjà un adulte. Mais ce qu’il adore plus que tout le reste, c’est goûter à de nouvelles choses. Il est un Gourmet Hunter comme la majorité des personnages qu’il rencontrera. Attention néanmoins, si la créature qu’il combat n’est pas consommable, il n’attentera pas à sa vie. Ainsi, chasser pour chasser, tuer pour tuer, ce n’est pas dans son caractère. SSon but est de trouver les ingrédients qui composeront son menu mais aussi l’ingrédient God pour l’incorporer dans ce dernier. Il est le premier des quatre Rois.
Komatsu : Cuisinier d’un restaurant renommé, Komatsu est un peu le bras-droit de Toriko. Néanmoins, malgré son apparence juvénile et chétive, il est l’être sur lequel la majorité des autres personnages comptent. Et à raison ! Car Komatsu devient peu à peu un élément indispensable à l’harmonie du groupe. Même Zébra reconnait son talent pour la cuisine. Il possède un talent particulier qui consiste à entendre la « voix » des aliments, ce qui lui permet alors de réussir des repas bien plus compliqués que la moyenne.
Coco : L’être humain est capable de créer des anticorps pour combattre les poisons qui s’infiltrent en lui. Mais dans le cas de Coco, il ne s’agit pas uniquement de ça. Tout son être, à force d’être envahi par différents poisons, est capable de produire sa propre toxine et alors de l’utiliser contre autrui. Mais Coco est aussi un devin. Il peut ainsi prévoir ce qui risque de se passer dans les heures qui suivent. Il est le second des quatre Rois.
Sunny : Pour lui, tout n’est qu’une question de beauté. La nourriture pourrait être divine qu’il ne la mangerait pas si elle n’a qu’une seule once de laideur. Un corps légèrement efféminé, de longs cheveux de plusieurs couleurs, Sunny a tout de l’être prétentieux et sûr de lui. Ses capacités au combat se basent principalement sur l’utilisation de ces cheveux comme capteurs sensoriels ou tout simplement comme arme. Il est le troisième des quatre Rois.
Zébra : Un homme dont la mâchoire difforme laisse paraître des dents le long de ses joues. Emprisonné pour avoir fait disparaître plusieurs espèces animales de la surface de la terre, il est un homme qui utilise le son pour abattre ses adversaires. Il déteste les personnes prétentieuses mais en vue de son imposante stature, rares sont les êtres qui cherchent à le provoquer ou qui ne sont pas mortifiés sur place. Il est le dernier des quatre Rois rencontrés par Komatsu.
Terry Cloth : Dernier membre de l’espèce des Battle Wolf, Terry Cloth est pourtant l’enfant d’un clone crée à partir de l’ADN de ces derniers. Ce qui explique en partie sa taille grandissante au fil des chapitres du manga. Il considère Toriko comme son maître et une figure paternelle, chose étonnamment rare voire unique car les Battle Wolf ne s’attachent pas aux humains. Son sexe est inconnu mais il est lui-même le maître d’Ob, un Obeisaure qui n’écoute que plus fort que soi alors que Toriko était son ancien maître. Chose qui laisse présager de la force potentielle réelle de Terry Cloth.
Tina : Uniquement visible dans l’animé (avec un petit caméo en manga dans un chapitre), Tina est une journaliste culinaire toujours dans les parages là où Toriko se trouve. Prête à tout pour avoir les meilleurs articles et vidéos, elle n’a guère peur de se mettre en danger quand cela s’avère nécessaire. Mais elle n’est pas qu’une journaliste de terrain, elle est aussi une présentatrice de télévision renommée. Ainsi, un peu comme Komatsu, il ne faut pas se fier aux apparences. Sa présence dans l’animé n’est pas là pour remplir un vide, non, elle a une vraie personnalité.
Jirô : Malgré son âge très avancé et son goût prononcé pour la bouteille, Jirô est pourtant l’un des Gourmet Hunter des plus reconnus dans le monde et d’un naturel bon vivant. Il vaut mieux se méfier de son apparence chétive et de son dos courbé car en réalité, il en est tout autre. Son surnom est le roi de l’étourdissement car il une multitude de pistolets à étourdir qu’il utilise avec une très grande précision. Son menu est exclusivement composé d’ingrédients non-connus dans le monde des humains et dont le niveau est indéfinissable par les standards chiffrés.
Mansome : Ne vous fiez pas à son apparence bourrue et à son crâne cicatrisé, Mansome est un homme bien plus amusant et drôle qu’on ne le croit. Pourtant, son rôle de Directeur du Bureau de Développement et de Chef du Complexe de Recherche en fait le troisième homme le plus important de l’OIG. Un running-gag récurent le concernant consiste à ce qu’il déforme son propre nom quand il l’entend, devenant « Handsome » qui veut dire « beau ». Mais attention, il ne faut pas oublier qu’en vue de sa position dans l’OIG, il n’en reste pas moins un être d’une puissance démesurée.
Starjune : L’un des sous-chefs de la Gourmet Corp. mais aussi l’un des antagonistes principaux du manga. Malgré le fait qu’il soit un ennemi de Toriko, il n’en reste pas moins un homme humble qui sait reconnaître ses erreurs mais aussi qui ne tue pas pour le plaisir. Il semble porter un intérêt à l’avancée de Toriko mais aussi les compétences culinaires de Komatsu, allant jusqu’à lui demander de se rendre utile pour la Gourmet Corp., ce que le cuisinier refusera net. Ainsi, même lorsqu’il rencontre Toriko et Komatsu dans un bar, sans son masque, il ne se montre nullement agressif.
La bande des joyeux lurrons de Toriko. Zébra n’est pas présent.
Apéritif : Bordeaux Animé ou Maury Manga ?
Avec ses vingt-et-un tomes, le manga a pris une avance considérable, surtout si on considère que nous sommes qu’au septième tome en France. Néanmoins, l’animé peut être une source alternative pour ceux qui ne veulent pas patienter en attendant les parutions françaises. Bien qu’à l’heure actuelle, l’idée d’acquérir la licence du dessin animé en France ne soit pas encore prévue, ce dernier se permet de mettre une voix à nos différents personnages.
Mais pourquoi regarder l’animé pour rattraper le manga ? L’un des bons points pour Toriko est sa quasi-absence de fillers. Contrairement à un Naruto ou à un Bleach où ce sont des arcs entiers de parfois plus de dix épisodes, les fillers de Toriko se comptent sur les doigts de la main pour presque une année et demie de diffusion (78 épisodes, toujours en cours). Mais voilà, tout cela n’est pas parfait et comme nous avons affaire à une adaptation d’un manga publié dans le Weekly Shonen Jump, son animé a donc le droit à de la censure en terme d’hémoglobine. C’est bien triste, surtout quand on voit les quantités de sang que peuvent déverser nos héros dans le manga original.
D’un côté comme d’un autre, le manga et l’animé ont la bonne idée de présenter différents animaux, insectes ou plantes qui n’existent pas dans notre monde mais qui font la joie des gourmets. Que pensez-vous d’une cigale mangeuse de chocolat ? Ou d’œufs de saumon doré ? La traduction de Kazé est impeccable dans les volumes reliés sortis en France et on peut les féliciter d’avoir traduit aussi les pages de présentations des créatures et autres informations. On remarque que l’animé, par l’introduction du personnage de Tina, une journaliste qui n’existe pas dans le manga, se permet de donner plus de vie à l’univers de Toriko. Horoscope gourmet, citations illustres, interviews de grands cuistots, et bien d’autres choses, Tina fait un travail remarquable.
Mais qui est donc ce bel homme ?
Dessert : Quintuple boules musclées sur mon héros
Le style graphique de Toriko a de quoi dérouter la plupart des lecteurs. Ici pas de traits fins même si certains ont des aspects bishônens. Ici, c’est du muscle, du gros muscle, des muscles brillants au soleil, peut-être même un peu trop. Oh bien entendu, tous les compagnons de Toriko ne sont pas aussi baraqués que lui mais ont chacun une particularité visuelle et grossière. Mais surtout, ce qui peut impressionner, ce sont les « incarnations » que laissent échapper nos héros face aux monstres. Démoniaques et colossales, elles ne peuvent pas laisser indifférents.
Il en est de même pour les personnages secondaires de l’OIG et les membres importants de la Gourmet Corp. Il y a toujours une certaine mise en valeur qui se dégage, cela se présentant par une monstruosité bien imposante. Bien entendu, le tout est plus grotesque qu’effrayant, Toriko n’est pas un manga pour faire peur mais ravir ceux qui sont avides de combats à sensation. Ainsi, lors de la présentation de Starjune, difficile de ne pas apprécier le charisme qui émane de cet homme haut-placé dans la hiérarchie de la Gourmet Corp.
Les créatures et êtres végétaux que rencontrent Toriko et ses amis ne sont pas en reste. Souvent d’une taille imposante, à défaut de charisme pour la majorité d’entre eux, ils n’en restent pas moins des adversaires impressionnants. On ne peut qu’être admiratifs devant le Battle Wolf alias Terry Cloth ou alors plus personnellement, devant l’Obeisaure, une sorte de gros lézard bicéphale qui obéit à autrui s’il lui prouve sa force. Pourtant, toutes les créatures ne sont pas seulement issues de l’auteur. Ainsi, Mitsutoshi récupère parfois les dessins de différentes créatures envoyés par ses fans pour leur donner vie dans son manga. Le Goblin Plant du chapitre 57, tome 7 est une création d’un lecteur. Voilà une petite anecdote toujours sympathique à faire connaître.
Ma créature préférée « Ob » (Obéisaure) et et son maître « Terry Cloth »
Digestif : Mets sans saveur ou goût original
Mais sa place parmi les autres mangas du Weekly Shônen Jump, où se trouve-t-elle ? Peut-être est-ce parce que le héros n’est pas un adolescent ? Est-ce à cause de la démesure dans les combats ? Nul ne peut réellement le savoir mais Toriko est pourtant le digne remplaçant de Dragon Ball. Des combats toujours plus impressionnants, des adversaires toujours plus colossaux, Toriko est là pour la baston et uniquement la baston. Avec un zeste de science, que cela soit culinaire ou technologique. Pourtant, je n’ai jamais connu un personnage secondaire aussi superbe que Komatsu. Imaginez un être impuissant, qui n’a vraiment aucun pouvoir et aucun charisme. Et pourtant, ce personnage est peut-être le meilleur acolyte que j’ai pu voir dans un manga shônen depuis longtemps.
Mais qualitativement, par rapport aux autres mangas actuels, que vaut Toriko ? D’après les sondages hebdomadaires du Weekly Shonen Jump, Toriko dépasse la majorité du temps Bleach et Naruto, côtoyant souvent le trio de tête avec One Piece. Ainsi, le public se montre présent pour ce qui est surement un digne remplaçant des shônens que nous connaissions à l’heure actuelle. Bien entendu, selon les dires, Bleach, Naruto et One Piece sont encore loin d’être terminés mais aujourd’hui, il ne faut plus compter uniquement sur eux. Toriko, ce n’est pas de la tarte et ce manga veut aussi se payer une part du gâteau immense que sont les lecteurs du Weekly Shonen Jump. D’ailleurs, il semblerait qu’ils redemandent du rabe au vu de sa position dans les sondages.
Disponible aux éditions Kaze-Manga. Prix : 6.69€
11 commentaires
En tout cas merci pour ces infos et puis surtout d'avoir réparé cette anomalie qu'était l'absence d'article sur ce titre. ~ Bah sinon moi je le continue sur support papier, car comme tu l'a bien expliqué, il est bien plus saignant ainsi. ~~~
Allez, c'est pas tout mais moi ça ma ouvert l'appétit toussa. ;)
Et pourtant ça ne me donne pas plus envie de le lire que ça. Peut-être à cause de l'allusion à DBZ (eh oui je ne suis pas fan non plus, ça existe ^^). Pour ne pas mourir inculte, et ne pas déprécier le manga à froid, je vais quand même me pencher sur le premier tome, mais sans grande conviction.
Y a des chiffres, des personnages toujours plus puissants, etc... :p
Mais après, DBZ a quand même sacrément vieilli et a tiré un peu trop sur la corde pour faire durer.
On est pas aussi dans un état de "Je peux détruire l'univers rien qu'avec une boule d'énergie".
On est encore sur notre planète (et j'espère que l'on y restera. :o).
Pour Hunter X Hunter, je sais plus de quand date exactement la confirmation que le monde où se trouve nos héros dans HxH n'est qu'une infime partie du monde "réel". A voir qui a récupéré l'idée de l'autre. Je ne dirai pas que c'est Toriko ou HxH même si pour l'heure, Toriko, ça fait moins cheveu sur la soupe (surtout parce qu'en un sens, HxH, ça fait quand même perpets que ça existe et que cette histoire de "partie du monde" est assez récente je crois). :)
Merci quand même, c'était mon premier dossier. ^^
Juste dire que perso, moi la référence qui, a la limite, me frappe le plus, ça serait One Piece.
Bah déjà, si je ne dis pas de bêtises, l'auteur de Toriko est un ancien assistant d'Oda (je crois). Mais là où je veux en venir pour justifier ma comparaison, c'est au sujet de l'univers. C'est à ce niveau que ça m'interpelle le plus. L'univers de Toriko c'est fou!! Ca me semble vaste, peuplé de personnages hauts en couleurs, de créatures diverses et incroyables... Bref ça me semble très riche de ce coté là. D'où mon ressenti et ce parallèle/cette comparaison entre Toriko et One Piece. Mais franchement ça s’arrête là pour moi. xD
Voilou. Pis comme d'hab, juste pour le fun, je dirais que: toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels/imaginaires ne serait que fortuite et pure coïncidence. xD
Bref, voilou c'est tout et.... chapeau bas à Shiroi, alors^^. Bien obligé, comme en plus, c'est là son tout premier dossier. Sinon vivement le prochain tome (le 8ème) qui est justement prévu demain, le 7 novembre!! ;)
Et rien d'étonnant ...
Du genre, Sket Dance et Gintama, c'est pareil. :)
Ils ont fait un cross over et l'auteur de Sket Dance était l'assistant de celui de Gintama.
Par contre, attention, l'auteur de Toriko ne fut pas assistant d'Oda (d'après mes recherches).
La preuve en est : One Piece a commencé en 1997 (15 ans déjà ! Oo) et a fait trois OS en 1996.
Un peu pareil pour l'auteur de Toriko.
Ils sont de la même génération. ;)
Hé bé quinze ans que One Piece a débuté... Hou la la, je préfère me tourner vers l'avenir du coup. Ca me rappelle qu'on vieilli, toussa. xD Sinon souhaitons longue vie + une belle réussite a Toriko.
Qu'il soit même meilleur encore, pourquoi pas. ha ha !
Good! ;)
L'article date. ^^
Et puis des références en pagaille non seulement à DBZ, mais aussi à HxH, Mario et j'en passe, des arcs qui gagnent à devenir de plus en plus longs... Waow.
Merci encore pour ce menu, ShiroiRyu.
Et rien à voir avec l'image quasiment aristocratique de la gastronomie française, ici le plaisir gourmet reste humble et décomplexé. L'auteur laisse libre courre à ses plus grand fantasmes d'orgies romaines sans jamais nous écoeurer, et ça fait vraiment plaisir.
Après pour les scènes d'actions, je les trouve très surfaits, c'est assez drôle parce que ça monte de niveau de manière exponentiel, aussi, la mort qui frappe comme la foudre est toujours assez surprenante (pour ne pas dire choquant), mais bon dans la globalité je ne suis pas trop convaincue, est-ce uniquement à cause du manque d'hémoglobine?