Whoa... dans cette soupe y a des champignons hallucinogènes mes amis, et c'est de la bonne !
On dirait que la source d'inspiration de ce moyen-métrage sont des rêves, bons et mauvais, d'enfants. Leurs peurs, leur pureté, leur cruauté, aussi... en bref, de la matière première brute de décoffrage qui une fois polie, nous donne un trésor d'imagination sans bornes !
Comment dire... combinez le sanguinolent de Happy Tree Friends, le fantastique des univers de Tim Burton et l'air de boîte à musique que, lorsque vous étiez gosse, vous vous passiez en boucle... Vous y êtes à peu près !
S'il y a de la poésie dans les ingrédients, la dose fut trop subtile pour mes papilles que je pensais pourtant sensibles à cette saveur. Du génie et ses trois grains de folie, de l'absurde et de l'audace, ça oui.
Un graphisme plein de charme, quelques bruitages et musiques de fond, laissez-vous porter sans chercher d'histoire (une psychanalyse peut-être, par contre)
Pour sûr, à en rester muet(te) d'admiration.
Seulement, j'aime bien comprendre les choses moi, plus encore lorsqu'elles sont tordues. Alors pas la note maximale, je dois être de mauvais poil.
*émet un miaulement bizarre* Ah non, c'est pas tout-à-fait ça...