Une daube comme j'en ai rarement vu dans ma vie, qui mérite d'être oublié. Ou d'être regardé uniquement pour pouvoir apprécier n'importe quel autre animé. Ne vous fiez pas au synopsis. L'histoire a l'air alléchante, hein ? Les trois premiers épisodes sont même prenants. On se dit qu'on est tombé sur un bon animé. Pas la perle du siècle, mais bon quand même. Aaargh, la déception ! Très vite, on déchante. Et on s'ennuie. On s'ennuiiiiiiie... Aya est une jeune fille sans cervelle qui se fait constamment sauter dessus sans trop protester (je pense notamment à la longue scène où elle est agressée dans un lit et où ensuite elle ne pense même pas à se couvrir la poitrine pendant qu'elle discute [...] Lire la critique
Ayashi no Ceres
- Format : Série TV
- Année : 2000
- Titre original : Ayashi no Ceres
- Nombre d'épisodes : 24
- Studio : Studio Pierrot
- Réalisation : Kamegaki Hajime
- Site officiel : http://pierrot.jp/title/ceres/
- Saison : Printemps 2000
- AKA :
- 妖しのセレス
- Ceres - Celestial Legend
Aya Mikage et son frère jumeau Aki sont deux lycéens (apparemment) comme les autres.
Le jour de leur seixième anniversaire, ils sont conviés chez leur grand-père où ils sont surpris de retrouver toute leur famille.
Aya va alors apprendre qu'elle est la réincarnation de Ceres, une nymphe qui fut mariée de force à un ancêtre des Mikage. Cette troublante révélation va mettre à mal sa petite vie ordinaire et bouleverser la relation fusionnelle qu'elle entretient avec son frère.
Synopsis soumis par marwen
- Studio d'animation : Studio Pierrot
- Réalisation : Kamegaki Hajime
- Chara-design : Motohashi Hideyuki
- Auteur : Watase Yû
- Musique : Sakai Ryo
- Diffuseur : WOWOW
- Directeur d'épisode : Matsûra Jôei
Junko Iwao (Ceres), Katsuyuki Konishi (Touya), Yumi Kakazu (Aya Mikage), Susumu Chiba (Aki Mikage), Kae Araki (Shouta)
- Licencié : oui
- Titre français : Ayashi no Ceres
- Editeur: Dybex
- Ayashi no Ceres (Manga - 1996)
Critiques des membres
#Par Lessien le 20-08-2007
Béber, je suis assez d'accord avec toi sur ta critique, mais même une fille peut très bien ne pas apprécier cet anime !!! Pour pouvoir apprécier Ayashi No Ceres, jetez - vous sur la version manga et laissez tomber l'anime. (quoique le manga souffre des mêmes travers, mais c'est un peu moins flagrant). => Limité par le nombre d'épisodes (et par une certaine censure), l'anime perd en intensité et s'embrouille à travers les personnages et les intrigues. Tout se passe très vite et pourtant, on s'ennuie. Justement Il y a trop de données à avaler d'un coup, pour comprendre l'histoire des nymphes, les nymphes de type A-B-C- roses à petits pois, etc.... Certains épisodes sont vides de sens [...] Lire la critique
#Par beber le 09-05-2007
Bon j’aurais du m’y attendre, on m’avait prévenu. En fait devrais-je plutôt dire, les plus hautes sphères de la plèbe AKunienne m’avaient averti d’un petit : « c’est naze comme série ». Et puis autre signal très inquiétant je découvrais à la même époque que le studio de cette série, c’était Studio Pierrot (pour ceux qui ne connaîtrait pas, il s’agit entre autre du studio qui nous a massacré Naruto). Mais moi bravouche et fier et puis parce que j’en étais déjà au 10eme épisode, j’ai décidé de persister étant donné que le début ne m’avait pas effrayé. Et l’effroi m’attendait au coin de la deuxième partie de la série. Pourtant comme je l’ai dis, tout avait plutôt bien commencé. L’histoire [...] Lire la critique
#Par marwen le 31-03-2005
Troublante série que cette Ayashi no Ceres... Watase réussit à nouveau le tour de force de nous embarquer dans son univers bien à elle, fait de magie, de batailles sanglantes et d'histoires d'amour tragiques. Au niveau de l'histoire, l'anime reprend le manga de façon quasi identique, déroulant le destin de cette nymphe réincarnée de façon assez virtuose, tant on retient son souffle à la fin de chaque épisode. Pourtant, bien que violente et sanglante, on ne peut dire que l'action est l'apanage principal de cette oeuvre déroutante. En effet, même si les révélations vont bon train, le tout se fait sur un rythme assez lent, comme suspendu dans l'espace, à l'image de ces grandes tragédies [...] Lire la critique