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Tant qu'à faire, autant écouter Agalloch. Sponsor officiel de cette critique. Chainsaw Man, évidemment. La fille avec les cornes là. Déjà, c'est viscéral. Parce que ça charcute beaucoup. C'est beau, évidemment. Les corps dans Chainsaw Man, c'est tout un merdier. Il y a les corps-monnaies et l'angoisse pour les contractants de devoir sacrifier des morceaux d'eux-mêmes pour s'offrir des victoires, ou juste quelques secondes de survie en plus. À l'opposé, il y a ceux qui régénèrent même coupés en quatre, malheur à eux - un festival. C'est viscéral aussi parce que le mec avec ses tronçonneuses part de si loin qu'on est bien obligé de l'épauler un peu. De faire un bout de son chemin [...] Lire la critique