Cowboy Bebop - le Film (Knockin' on Heaven's Door)

Les différences entre un épisode de Cowboy Bebop et ce film ? Aucune à vrai dire. Bon ok ok il en faut bien et je ne peux pas tout nier non plus ; la durée du visionnement passe du simple au triple. A part ce léger détail (vu que, comme on aime bien, ce film passe aussi vite qu’un épisode de 20 minutes), c’est un « vrai régal » et ça ne se démarque pas de ce à quoi on nous avait habitué. C’est un vrai régal oui, même si j’aimerais rester plus modérée dans mes propos : ce n’est pas d’une transcendante originalité mais ça se regarde avec plaisir. On peut ainsi voir une histoire d’un cowboy hors du commun accompagné de ses acolytes et face à des méchants toujours plus méchants et toujours [...] Lire la critique

Sorti trois ans après la série TV, ce film bénéficie de notables progrès techniques. L’animation m’a semblé plus soignée et certaines séquences en 3D de synthèse sont assez bluffantes (car parfaitement intégrées au graphisme traditionnel), je pense notamment aux passages en vue subjective nous plaçant dans la peau de Faye ou de Spike. Pour le reste on retrouve les mêmes sensations qu’avec l’anime. Le format long-métrage a néanmoins permis d’augmenter la durée des scènes d’action, pour notre plus grande satisfaction. Duels au corps-à-corps, course-poursuites, échanges de coups de feu, ballet aérien entre vaisseaux spatiaux… tout cela prend une ampleur jamais observée dans la série, tout en [...] Lire la critique

Connaissant la fin de Cowboy Beepop la série, je me demandais comment ce film allait s'intégrer dans la chronologie du scénario (en espérant qu'ils n'allaient pas nous sortir un truc farfelu). En fait, il semblerait que cet anim se situerait autour du 20éme épisode Tout d'abord, mais quel plaisir de les retrouver ceux là! Alors certes certains perdent de leur importance (le chien et Jet), mais on retrouve une Ed telle que nous la connaissons (moi j'adore), une Faye, encore plus "fayistique" que dans la série (j'y reviendrais plus tard) et naturellement un Spike fidèle à lui-même. Ce qui frappe dans [...] Lire la critique