Troisième film de la série Kara no Kyoukai, Persistante douleur (traduction proposée sur les DVD de Kaze) est généralement le film de la révélation pour ceux que le premier opus n'avait pas convaincu - mon prédécesseur s'est déjà pas mal étendu sur le sujet. KnK 3 est, à l'instar du film 1, très indépendant du reste de la série et son lien avec l'intrigue globale est mince. En revanche, il fait des efforts de clarté et plante quelques thèmes et concepts capitaux pour la série. Il faut voir en premier lieu que KnK 3 est bien une histoire construite, avec un schéma narratif d'ailleurs simple. La chronologie est aisée à établir. On a un début, une fin et un milieu. Un nouveau personnage, [...] Lire la critique
The Garden of Sinners (Film 3)
- Format : Film
- Année : 2008
- Titre original : Kara no Kyoukai (The Garden of Sinners) - Tsukaku Zanryu
- Nombre d'épisodes : 1
- Studio : Ufotable
- Réalisation : Obunai Mitsuru
- Production : Aniplex, Kôdansha, Notes, Ufotable
- Site officiel : http://www.karanokyoukai.com/
- Saison : Hiver 2008
- AKA :
- 空の境界
- KNK
- Boundary of Emptiness
- Remaining Sense of Pain
- Kara no Kyoukai Part. 3 - Tsukaku Zanryu
Kokuto et Shiki travaillent sur un autre affaire de meurtre, concernant un ami du jeune homme. Ils découvrent que le meurtrier est une jeune femme, Fujino Asagami, qui a le pouvoir de tout briser par son esprit. Rapidement, ils découvrent qu'elle cache un autre secret....
Synopsis soumis par kuchiki byakuya
- Studio d'animation : Ufotable
- Production : Aniplex, Kôdansha, Notes, Ufotable
- Réalisation : Obunai Mitsuru
- Chara-design : Obunai Mitsuru, Sudô Tomonori
- Chara-design original : Takeuchi Takashi
- Auteur : Nasu Kinoko
- Idée originale : Type-Moon
- Musique : Kajiura Yuki
- Distribution : Aniplex
Kentarou Itou (Mikiya Kokutou), Kikuko Inoue (Touko Aosaki), Tomoko Kawakami (Shiki Ryougi), Jouji Nakata (Souren Araya), Miki Itou (Kirie Fujou), Yuji Ueda (Daisuke Akimi), Yukari Tamura (Azaka Kokutou)
- The Garden of Sinners (Film 2) (Film - 2007)
- The Garden of Sinners (Film 4) (Film - 2008)
- Kara no Kyôkai : Epilogue (OAV - 2011)
Critiques des membres
#Par Kyoshi le 26-12-2010
Attaquons-nous au monument qu'est Kara no Kyoukai, La Frontière du Vide, Le Jardin des Pécheurs; et commençons par Tsuukaku Zanryuu, A Lingering Sense of Pain (qui se traduit mal en français, d'ailleurs : Douleur Résiduelle ? Douleur Persistante ?). Pourquoi le troisième film d'abord ? Parce que c'est le meilleur. Est-ce que c'est le meilleur ? Non. Ce n'est pas vraiment le meilleur, mais c'est la première grosse claque que nous met Kara no Kyoukai. Quand on regarde le premier film, on ne sait pas quoi penser. Soyons francs, on ne comprend rien. En fait, je me demande presque pourquoi ils ont diffusé le premier film en premier (on pourrait dire que c'est celui qui bénéficie du plus de [...] Lire la critique
#Par enigma314 le 09-05-2010
Sans conteste, le meilleur de la série des 7 épisodes. Âme sensible s'abstenir car dès les premières minutes, on assiste à une scène très violente. On joue pas à la marelle ici. Toujours cette ambiance froide, voire morbide rehaussée par des couleurs sombres. La fascination s'axe surtout sur le personnage de Fujino. Aussi belle et mystérieuse que Shiki, son charme opère différemment. Apparemment plus fragile, on découvrira peu à peu sa nature. Cet aspect nous éclairera, dans un même temps, sur celle de notre héroïne principale. Moins contemplatif, le rythme est effectivement plus soutenu. On s'ennuie pas trop dans ce 3ème opus pourtant assez sordide dans son ensemble. A noter [...] Lire la critique
#Par kuchiki byakuya le 20-01-2009
J'avais raison d'espérer puisque ce film est un poil au dessus des autres, grâce à son histoire plus intéressante. Moins évasive que les précédentes, elle aborde surtout des questions plus sérieuses et plus psychologiques qui collent bien mieux avec l'univers particulier de Kara no Kyoukai. Certes, il faut un peu de temps pour bien saisir le scénario mais quand vient la fin, notre patience paie enfin ses fruits. De plus, le rythme plus soutenu, dissipe le malaise présent dans les deux premiers volets. On reste concentré du début à la fin (alors qu'il était facile de décrocher dans les autres). Mais il ne faut pas oublier les personnages qui ont également leur part dans ce "succès". Si [...] Lire la critique