Kokkoku

Kokkoku

Les Yukawa peinent à joindre les deux bouts. Le grand-père est à la retraite, la mère est femme au foyer, le père et le fils Tsubasa sont sans-emploi. Les deux filles, Juri et sa sœur, qui est mère célibataire, luttent pour assurer la subsistance de tous. Le petit dernier, Makoto, représente à leurs yeux l'unique espoir de réussite familiale.
C'est alors que celui-ci et leur frère se font enlever par des hommes qui exigent par téléphone que 5 millions de yens leur soient livrés sous une demi-heure. Le doyen procède alors à un étrange rituel qui leur permet d'arrêter le cours du temps... mais leur mission de sauvetage ne se déroule pas du tout comme prévu.

Synopsis soumis par Duna

Asami Seto (Shōko Majima), Chika Anzai (Juri Yukawa), Hirofumi Nojima (Tsubasa Yukawa), Hiroyuki Yoshino (Sako), Hozumi Gōda (Junji Sagawa), Kazuhiro Yamaji (le vieil homme), Kouji Tsujitani (Takafumi Yukawa), Ryūto Iwata (Makoto Yukawa), Yuya Uchida (Shiomi)

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Critiques des membres

#Par GTZ le 05-09-2021

7
Kokkoku - Your Wish !

Mwahahahaha. Vous croyez vraiment que j'allais m'arrêter là ! Non les gens. Vous avez lu la critique précédente sur la série ? Il est dans les règles de ne jamais faire référence aux précurseur du papier, mais il est dans mon devoir de vous dire que ceci est une bonne série. Oui, cela est clair, cela parle de la famille, mais cela en parle bien, sur l'ancien, le jeune, la jeune ou le vieux con. La force première de ce récit est le groupe, ce qu'on peut appeler le clan, la famille. Oui il est vrai, ceux qu'ont bossé dessus ont bossé sur Kite et Mezzo (vanilla version). Et alors ? C'est une adaptation de manga, d'un studio il est vrai qui à l'heure d'aujourd'hui est [...] Lire la critique

#Par Minuit le 10-04-2018

6
Brève histoire des solitudes familières

Il apparaît que nous apprenions quelque chose de la solitude en l'art. L'oeuvre d'art, dit-on souvent, est le lieu de toutes les solitudes : celle de l'artiste, celle de l'oeuvre laissée seule au monde. Du concept de solitude, on fait souvent grand abus. Il revêt souvent l'apparence de l'isolement, de l'écart au monde. Il surgit inévitablement du rapprochement tous les risques de l'amalgame. La première série de Geno Studio évite pour une part cet écueil. Kokkoku est l'histoire d'une jeune femme. Prise au piège, à divers degrés, dans une dimension où le temps s'est arrêté, elle tente de sauver sa famille, elle tente de se sauver elle-même. Drame familial davantage que drame personnel. [...] Lire la critique

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