Ca ne tient qu'à un fil
Gantz avait déjà pas mal divisé le public et si la série d'animation, inachevée, laissait le spectateur sur sa fin, je garde de biens meilleurs souvenirs du manga. Car la violence, la sexualisation et le côté grotesque de ce battle royale qui ne dit pas son nom prennent tout leur sens. Loin d'être gratuits, ils caractérisent l'univers et l'imagination absurde renforce d'autant mieux la crédibilité de l'univers et l'humanité des personnages, dans tout ce qu'elle a de plus pluriel. Je croise les doigts qu'une fois encore l'adaptation n'ait pas su une fois encore transposer les forces du matériau d'origine. Car Last Hero Inuyashiki m'a déçu comme je ne l'avais pas été depuis un bail. C'est [...] Lire la critique