Si tu veux être international, chante ton pays.
Peut-être que le nom de Yuki Urushibara n'est pas le plus parlant dans le petit monde de l'animation japonaise. Mushishi, son œuvre la plus connue, s'est pourtant assez rapidement imposée comme une référence dont la renommée n'a de cesse de croitre. Que ce soit le prix de l'excellence du Japan Media Arts Festival (2003), celui du meilleur manga de l'année (2006) décerné par la maison d'édition Kodansha, ou tout simplement par l'accueil critique qui lui est accordé ; le succès de Mushishi n'est plus vraiment à prouver. Il aura pourtant fallu attendre une demi-douzaine d'années pour que la première partie du manga soit portée sur les écrans, puis pratiquement huit autres de plus afin [...] Lire la critique