Nazo no Kanojo X

Nazo No Kanojo est un anime qui me laisse sur ma faim. Pour autant je dois dire que, bien que peu habitué à ce genre de style de séries, j'ai beaucoup aimé en regarder les épisodes. Tout d'abord, pour tous ceux recherchant un ecchi "culotte à gogo et virée a l'Onsen", passez votre chemin, Nazo no Kanojo en est très loin. La première chose qui m'a réellement marqué, ce sont les musiques d'ambiances présentes tout au long de l'anime, discrètes et bien accordées aux différentes situations, c'est rare ! L'OST quant à lui, bien que peu entraînant, correspond bien à l'état d'esprit de la série. Il sera ici question, vous l'aurez compris, de suivre les aventures amoureuses entre [...] Lire la critique

Nazo no kanojo est un anime qui séparera les fans. Soit on détestera comme Yuno_Shimizu dans sa cinglante critique, soit comme moi on adorera ! Le chara design est plus que correct, dans le style vieillot, mais bien remis au goût du jour, et c'est vraiment sympathique je trouve (question de gout de toute façon). Les personnages se résument à Tsubaki et Urabe. Les autres sont de simples figurants dont on ne sait rien, rien du tout. Mais on s'ne fiche un peu, ce n'est pas le sujet de cet anime du tout après tout ^^" On est donc plongé dans la vie plus que commune de Tsubaki, comme le veut l'usage des personnages d'animes dont le héros masculin est le japonais moyen à ce que j'ai pu [...] Lire la critique

Nazo no kanojo X, la mystérieuse petite amie en français. Pour ma part ce qui est mystérieux, c'est de savoir comment un anime aussi mauvais a-t-il pu voir le jour ? C'est le studio Hoods entertainment qui est à la production de cet anime, il a entre autres animes ecchi de mauvais goût, produit l'infâme Seikon no Qwaser. Ça vous situe la chose. Graphiquement, le style est vieillot (oui je sais, c'est sûrement voulu par le studio Hoods entertainment, n'empêche que c'est laid), les couleurs sont ternes, le character design est affreux et sans originalité, les décors sont acceptables mais souvent les mêmes (salle de classe, banc dans la cour, route très rarement fréquentée, etc...), rien [...] Lire la critique