Une théorie du droit à l'image servant l'application de l'effet papillon
Photokano, cette série sous-estimée, lâchée et même oubliée d’une année 2013 riche en grosses productions (Diabolik Lovers, Hiiro no Kakera...). Devant une telle injustice je ne pouvais rester silencieux, c’était un devoir que de rétablir la vérité et rappeler au public trop vite parti toutes les qualités d’une série qui n’a pas fini de faire rêver. Jugez plutôt. En partant sur le même postulat qu’une série que l’on qualifiera tous ici de maîtresse, le bien nommé « Amagami SS », Photokano en reprend les meilleurs éléments tout en apportant une véritable touche d’originalité bienvenue et bien pensée. C’est-à-dire que vous prenez un mixeur, vous y mettez Amagami SS et Amagami SS + (rimant [...] Lire la critique