Une des grandes forces de cet anime réside dans sa diversité de personnages, non pas que ceux-ci soient nombreux mais chacun a une personnalité bien distincte et, pour la plupart, assez... excessive. Les graphismes simples et agréables ainsi que le charadesign des plus expressifs y siéent parfaitement. Il serait donc difficile de ne pas trouver un des personnages attachants. Bien entendu, l’intérêt de cette série ne se limite pas à cela. Loin des animes qui se veulent matures, Pita Ten repose, sans aucun complexe, sur une histoire simple à la limite du débile. Pour cette raison, certains abhorreront cette série mais les fans d'anime ayant encore quelque part une âme d'enfant (~chu) , et [...] Lire la critique
Pita Ten
- Format : Série TV
- Année : 2002
- Titre original : Pita Ten
- Nombre d'épisodes : 26
- Studio : Madhouse
- Réalisation : Kawase Toshifumi, Satô Yûzô
- Saison : Printemps 2002
- AKA :
- ぴたテン
- Pitaten
- Studio d'animation : Madhouse
- Réalisation : Kawase Toshifumi, Satô Yûzô
- Chara-design : Sakai Kyûta
- Auteur : Koge-Donbo
- Musique : Nanase Hikaru
- Diffuseur : TV Osaka
- Intervaliste : Seigasha
Mitsuki Saiga (Takashi Ayanokouji / Ten-chan), Miyuki Sawashiro (Kotarou Higuchi), Rie Kugimiya (Koboshi Uematsu), Yukana Nogami (Shia), Yukari Tamura (Misha)
- Licencié : oui
- Titre français : Pita Ten
- Editeur: Mabell
Critiques des membres
#Par Lord Otaku le 17-12-2004
Un petit anime sympa, du style Digi Charat qui plaira à ceux qui ont garder leur âme d'enfant! Personellement, cet anime m'amuse, les personnages sont bien dessinés, et je craque totalement sur Kobochi ou sur Shia! Sinon, l'histoire est assez basique, mais amusante : la pire ange du Ciel est envoyée sur Terre afin d'y étudier et de s'améliorer. De même pour la pire démon des Abysses! Problème, Misha, l'ange, n'est pas très dégourdie, et passe son temps à accumuler les gaffes, alors que Shia, la démon, est très naïve, et ne présente pas la moindre once de méchanceté, mais plutôt un gentillesse sans pareil! Bien sûr, des amours se forment, sans aboutir : Misha adore Kotaro, qui est [...] Lire la critique