Revue Starlight – L'ersatz du destin
Certains auront longtemps attendu cette critique. Je m’excuse platement auprès d’eux : j’avais besoin de me recueillir un peu avant de savoir que penser de cette série. Le monde est une scène. Une scène immense dont le metteur en scène, contemplatif, est une girafe à la voix profonde. Une scène sur laquelle il faut donner de soi. Se donner, entièrement. Vaincre l’autre, même si c’est un ami ; détruire ses ambitions, ses rêves ; caresser la folie et ses désirs les plus profonds. Un groupe de jeunes filles qui rêvent toutes de devenir des stars. Inutile de préciser l’influence d’Ikuhara : elle est évidente, elle envahit même chaque plan. Le destin, la revue Takarazuka, l’ambiguïté [...] Lire la critique