Peut-être a-t-il trop d’imagination pour travailler sérieusement...
Seki-kun me rappelle un personnage célèbre de bande-dessinée: Gaston Lagaffe. Bien sûr il ne fait pas sauter le bâtiment à chaque nouvelle expérience, ne possède pas de gaffophone et n'héberge pas à temps complet toute une ménagerie dans les bureaux de son école (encore qu'il amène des animaux en cours quand l'envie le prend). Mais il partage avec le personnage de Franquin un don presque surnaturel pour tout faire, sauf ce qu’on attend de lui : c’est ainsi que son bureau se transforme à chaque nouvelle heure en un nouveau terrain de jeu. Et l’on sent chez lui une véritable passion qui devient presque de l’art entre ses mains. Clairement, on a affaire à un jeune homme davantage attiré par [...] Lire la critique