Lost on the way, no one to blame, no one to say
Il existe certainement des tas de manières d'expliquer le succès du manga en France, mais une composante très basique de ce succès peut s'expliquer très simplement : le manga a construit quelque chose qui, indépendant de ses qualités, n'existe pas ou peu ailleurs. Plus même qu'un modèle narratif et autres "différences culturelles" dont on entend si souvent parler, ce sont des genres entiers qui ont germés dans cette sous-culture japonaise. Ironiquement, ces genres spécifiques et souvent très codifiés sont considérés par beaucoup comme du divertissement facile et mercantile plutôt que de véritables œuvres. Parmi ces genres, le shônen de combat est celui qui illustre cette idée de la manière [...] Lire la critique