Du bonheur de l'immoralité.
Il est à noter que ce témoignage à l'intention de l'oeuvre "Ladyboy versus Yakuzas", décrit seulement les quatre premiers tomes au moment où j'écris ces lignes. En ces temps de moralisation bien pensante imposée, je dois avouer que je suis en quête de mangas quelques peu audacieux, décomplexés et pourquoi pas immoraux. Car, si il y a bien quelque chose à bousculer ici bàs, c'est bien la morale. En arpentant les rues dégoulinantes de mon quartier, j'aperçu une couverture au titre singulier dans une vitrine assez terne, "Ladyboy versus Yakuza". Inconsciemment déstabilisé par cette couverture, ou plutôt trop habitué aux productions standards qui me paraissent assez mornes, je n’ai prêté [...] Lire la critique