Sur la piste du Lapin Noir
Pandora Hearts, c'est un peu comme tomber dans le terrier du Lapin, au départ on ne sait pas où on va, puis la descente est plaisante, mais l'atterrissage est rude. Les premiers tomes sont clairement là pour planter le décor, les traits de Mochizuki sont encore hésitants tout comme l'histoire qui peine à trouver un équilibre. Il faut attendre la première véritable confrontation avec l'Abysse pour réellement ouvrir l'histoire, car c'est ce moment là, précis, qui pose les véritables questions et présente les personnages qu'on a commencé à développer, que la magie opère. C'est à ce moment que le récit devient plus intimiste et rentre dans le vif du sujet. Et c'est aussi à ce moment là [...] Lire la critique