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Les animes du printemps 2010

Publié le 01/04/2010 par El Nounourso dans Anime - 24 commentaires

Printemps, automne, été, hiver… et printemps. Cela fait maintenant un an que la formule des compilations saisonnières a été lancée sur AK. Vu l’engouement suscité par ces articles, il serait dommage de ne pas rempiler pour quelques années de plus ! Trèves de billevesées, passons aux animes printaniers :

Yojô-han Shinwa Taikei Working!! Mobile Suit Gundam Unicorn (OAV)
SD Gundam Sangokuden Heroman K-ON!!
Arakawa under the Bridge House of Five Leaves Giant Killing
Ookiku Furikabutte – Natsu no Taikai-hen Hakuoki Armored Trooper VOTOMS : Gen-ei Hen (OAV)
Black Rock Shooter (OAV) Uragiri wa Boku no Namae wo Shitteiru Rainbow – Nisha Rokubô no Shichinin
Marie & Gali 2.0 Angel Beats! Senkô no Night Raid
Vous trouverez une playlist de trailers en fin d’article

 

 

Yojô-han Shinwa Taikei

L’Effet Papillon sous LSD

Quand on vous annonce une série dans la tranche horaire noitaminA, produite par Madhouse et réalisée par l’iconoclaste Masaaki YUASA (Mind Game, Kemonozume, Kaiba), on s’assoit confortablement dans le canapé, on sort les cacahouètes et les bières, et on attend, dans un silence religieux. Cette série est une adaptation, mais d’un roman de Makoto UEDA et non d’un manga ou d’un light novel, ce qui est déjà plus inhabituel. Et si le trailer particulièrement audacieux ne vous suffit pas, vous pouvez encore vous rassurez avec le reste du staff : direction artistique menée par Shinichi UEHARA (Kokoro in Aoi Bungaku Series), chara-design du fidèle Nobutaka ITO (Kemonozume, Kaiba) qui dirige aussi l’animation et la compositrice Michiru OSHIMA (Fullmetal Alchemist, Sora no Woto).

Le narrateur, un étudiant de 3ème année, s’ennuie jusqu’au jour il lui sera donné la possibilité de revivre différemment ses premières années de fac dans des mondes parallèles aux frontières de l’onirisme. Ces voyages seront l’occasion de faire différents choix et de se rappeler les personnages étranges qu’il a pu croiser. Rétrospectivement, je ne vois pas qui mieux que Masaaki YUASA pouvait réaliser cette adaptation. Il sera intéressant de voir quelle marge de progression le réalisateur a encore accomplie mais il est certain que cette série porte mes plus gros espoirs.

 

Working!!

Un autre petit « slice of life »…

Celui-ci nous emmène suivre la vie de Takanashi Souta, 16 ans, qui travaille à temps partiel dans un restaurant à Hokkaido, au nord du Japon. Parmi ses collègues, Taneshima Popura, une lycéenne âgée d’un an de plus que lui mais qui passe pour une collégienne, voire une fille plus jeune. Le gérant du magasin, Shirafuji Kyoko, 28 ans, n’éprouve aucune gêne à ne rien faire au travail.

Après six volumes sortis de l’imagination de Karino TAKATSU et publiés par Square Enix, c’est A-1 Pictures (Birdy the Mighty Decode, Fairy Tail ou encore Kuroshitsuji) qui se lance dans son adaptation animée. La direction et la composition de la série sont confiées à Yoshima HIRAIKE, dont on retrouve essentiellement le travail de direction dans les déclinaisons de Kaleido Star. Les ficelles de la musique seront tirées par Yota TSURUOKA, de quoi en attendre quelque-chose quand on voit les faits d’armes de ce dernier : Bakemonogatari,  Phantom – Requiem for the Phantom, Full Metal Panic!, Shangri-La, etc. D’après le trailer, la musique semble entraînante et le chara-design de Shingo ADACHI parait agréable.

Sans avoir lu le manga, l’histoire a l’air de poser l’humour au premier rang avec les différents collègues de Souta aux caractères bien étiquetés et différents. Alors, cette formule « pour faire rire » fonctionnera-t-elle ? Echappera-t-elle au label « déjà-vu » ? Affaire à suivre !

 

Mobile Suit Gundam Unicorn (OAV)

La conclusion d’une saga mythique ?

Comme son nom ne l’indique peut-être pas, Gundam Unicorn n’a à voir ni avec Gundam 00 ni même avec le plus ancien Gundam Seed. Que nenni messires, ils nous font plonger plus profondément dans les abysses et dépoussiérer les séries fondatrices. En effet, cette série de six OAV s’inscrit dans la ligne chronologique Universal Century (UC) introduite par la première série de la franchise pléthorique : Mobile Suit Gundam et sa suite Zeta Gundam. Ces OAV se placent donc après le film Char’s Counterattack et apporteront peut-être une pierre finale (non je n’ai pas dit tombale) à la saga légendaire, du moins dans la chronologie UC.

Si cette nouvelle adaptation n’est pas vraiment synonyme de risques, Sunrise a malgré tout voulu dépoussiérer le staff en faisant appel à de nouveaux venus, en dehors de l’univers Gundam, pour certains postes. Le réalisateur Kazuhiro FURUHASHI (Le Chevalier d’Eon, Real Drive) et le scénariste Yasuyuki MUTO (Basilisk, Sengoku Basara) sont ainsi aux manettes quand la direction artistique est supervisée par le vieux soldat Shigemi IKEDA. Si je ne peux dire si Kumiko TAKAHASHI (Card Captor Sakura, Tetsuwan Birdy) est fidèle au style imprimé par Yoshikazu YASUHIKO, le papa des têtes de la saga Gundam dans la chronologie UC, le résultat est pour le moins surprenant et réussi avec une sorte de modernisation du style de la vieille école. Si la lourde charge du mecha-design n’est pas sur les épaules d’un seul homme (ou femme), on citera notamment la présence à ces postes de Junya ISHIGAKI et de Hajime KATOKI qui ont déjà œuvré sur Gundam Wing par exemple. Les échos plutôt positifs suite à la parution du premier épisode semblent en tout cas valider les choix de Sunrise, à moins que la vieille garde, rassasiée pour le coup, se fasse moins exigeante.

Dernier point notable et non des moindres, Gundam Unicorn bénéficie d’une première, une sortie mondiale simultanée, et la France n’est pas oubliée. Oui vous avez bien lu, les OAV sortent en même temps chez nous et au Japon. Il reste que le choix discutable du seul support Blu-ray, moins répandu encore que le DVD, et le prix, 35 €, certes harmonisé avec le marché de l’archipel mais un peu prohibitif comparé aux sorties françaises (c’est là qu’on se rappelle qu’on est avantagé), restreint peut-être encore plus ce qui était déjà un marché de niche. Quoique, contrairement à ce que je pensais, Gundam Unicorn ne trouve pas preneur que chez les « vieux » fans mais aussi auprès de la nouvelle génération qui, si elle se retrouve logiquement perdue dans le scénario, aura peut-être envie de retourner voir les archives.

 

SD Gundam Sangokuden

Samurai Pizza Cats Revival !

Vous voyez Mobile Suit Gundam Unicorn ? Et bien SD Gundam Sangokuden est à l’autre extrême de l’éventail du genre. Jugez plutôt : on nous annonce un remake de l’histoire des Trois Royaumes où les personnages seront joués par des Gundams en mode « Chibi SD ». Et c’est tout. Oui, c’est n’importe quoi, oui c’est totalement awesome. Bien sûr, les pilotes emo auraient été de trop donc les Gundams seront ici humanisés. J’entends déjà les esprits chagrins me dire que ce n’est jamais qu’une série pour vendre une nouvelle gamme de jouets Bandai mais il n’empêche que le pitch a un potentiel comique indéniable si les auteurs ne se réfrènent pas et jouent à fond la carte de la débilité.

Sunrise a fait appel à un scénariste réputé pour cette série en la personne de Tatsuhiko URAHATA qui a, entre autres, adapté l’histoire de Monster. Difficile d’avoir une visibilité sur ses assistants puisque seuls sont mentionnés Yoshiyuki TOMINO – le papa de tous les Gundams – où son nom est plus une mention légale/marque de respect que le signe d’une réelle implication et Hajime YATATE, le pseudonyme du collectif de Sunrise, qui n’est donc pas vraiment une indication précise. Le duo de réalisateurs est plutôt méconnu lui aussi entre Kunihiro MORI, qui a quand même réalisé quelques épisodes de Cowboy Bebop et de Gundam Wing, et Kenichi SUZUKI. Le mecha-design quant à lui est confié à Shinya TERASHIMA.

Devant ce staff un peu sorti de nulle part, on se rassurera devant le trailer qui fleure bon le délire assumé. Allez, on prend le pari que SD Gundam Sangokuden sera le plaisir coupable de nombre d’entre nous en lieu et place d’un Sengoku Basara ?

 

Heroman

Bientôt 88 ans, un tel âge porterait bonheur en Chine

Je veux croire que la célèbre formule philosophique « 1+1=3 » se vérifiera une nouvelle fois. A vrai dire je ne serais même pas mécontent si l’arithmétique reprenait simplement ses droits quand les « 1 » en question désignent le studio Bones à ma gauche et Stan Lee à ma droite. Heroman soulève ainsi bien des espoirs devant cette association. En effet, cette série est l’adaptation d’un manga scénarisé par le monstre sacré du comics (co-créateur de Spiderman, Ironman ou encore les X-men, parmi tant d’autres). Les premières lignes du scénario fleurent d’ailleurs bon le retour aux sources : Joey, un jeune garçon américain qui a perdu ses parents et qui travaille pour aider sa grand-mère, récupère un jouet à la mode cassé et jeté par un gosse de riches. Une fois réparé, le jouet peut en fait se transformer en robot géant. Lui et Joey vont pouvoir se battre contre les extraterrestres qui menacent la Terre.

Ah oui… plus vieille école que ça, je demande à voir. Certes je n’aurais pas craché sur un peu plus d’originalité – attendons de voir quand même, l’histoire nous réservera peut-être des surprises, même si j’en doute – mais je ne peux pas crier au cliché quand cela vient du fondateur du genre. Si Tolkien ressuscitait, on ne lui reprocherait pas de nous ressortir des elfes et des nains. Il n’empêche que je me souviens d’un Ultimo qui peine à convaincre et je me demande si l’accouplement du monde du comics et celui du manga n’est pas condamné à être contre nature.

Nombre d’éléments ont quand même de quoi nous rassurer. Le trailer diffusé est des plus enthousiasmants. L’adaptation du scénario est entre les mains de Akatsuki YAMATOYA qui a fait preuve d’une grande maestria sur Soul Eater. La réalisation est signée Hitoshi NANBA, un habituée des séries destinées à la jeunesse qui a réalisé des storyboards sur Eureka 7 tandis que la direction artistique est assurée par Yumiko KONDOU (Mnemosyne). Le chara-design est au soin de Shigeto KOYAMA qui a plutôt ses habitudes sur le mecha-design. Bones a les clés, faîtes-moi mentir.

 

K-ON!!

Quand on est K-ON!, on est K-ON!!

A fond dans leur musique pop, nos lycéennes ont finalement sauvé leur club et sont désormais de retour ! Serait-ce pour nous jouer un mauvais tour ? Après une première saison adaptée du 4-koma (comic-strip en 4 cases) de kakifly publié dans le mensuel Manga Time Kirara qui a fait pas mal d’émules au printemps 2009, pourquoi ne pas continuer dans la lancée me direz-vous ?

C’est ce qu’a dû se dire Kyoto Animation. D’ailleurs, la série ne souffrira d’aucun changement, le staff restant relativement le même que lors de la première session des aventures de nos musiciennes. Yukiko HORIGUCHI est toujours aux commandes du chara-design que l’on a déjà pu admirer dans Lucky Star. Hisako YAMADA, dont la première expérience à la réalisation était sur K-ON!, rempile ici aussi.

K-ON!! (à noter ce subtil rajout d’un 2ème « ! » pour signifier la 2ème saison) bénéficiera du même format que K-ON! : 13 épisodes. Est-ce que cela sera assez pour nous divertir ou pour définitivement nous ramollir ? C’est ce que l’on verra en suivant la vie au jour le jour de nos musiciennes.

 

Arakawa under the Bridge

Bienvenue dans le monde de l’étrange

Kou Ichinomiya, héritier d’un riche et puissant capitaine d’industrie, a fait sien le crédo de sa famille : ne jamais rien devoir à personne. Cependant, sa vie est un jour sauvée par Nino, une fille sans-abri qui vit sous le pont de la rivière Arakawa. Kou prend dès lors la résolution de rembourser cette dette. Il va alors rentrer dans la vie de cette marginale et de ses amis pour le moins étranges.

Qui d’autre pour se charger de cette adaptation d’un manga de Hikaru NAKAMURA (Saint Young Men) que le studio Shaft ? La réalisation est une nouvelle fois (encore dirons certains) confiée à Akiyuki SHINBO qui partage le poste avec Yukihiro MIYAMOTO, une direction bicéphale déjà croisée sur Maria Holic. L’adaptation du scénario est entre les mains de Deko AKAO (Natsu no Arashi!) tandis que la technique sera supervisée par une partie du staff de Natsu no Arashi! avec Kôji AZUMA à la direction artistique, Shouhei UCHIMURA à la direction de la photographie. Nobuhiro SUGIYAMA aura la charge du chara-design et de la direction de l’animation, une double casquette déjà portée sur Ef – A tales of Melodies.

Si cette série porte certainement pas mal d’attentes, on regrettera que l’ombre de SHINBO soit omniprésente sur le studio qui est devenu indissociable du réalisateur. Reste ensuite à savoir si la présence de son nom sur l’affiche témoigne d’une réelle implication ou simplement d’une sorte de prête-nom, ce qui serait malhonnête mais rassurant. Le stakhanovisme est rarement une formule payante, surtout en matière de création.

 

House of Five Leaves

Le bushido en prend un coup

Un ronin (NdT : un samouraï sans maître) discret, Masanosuke Akitsu, renvoyé par son daimyo (NdT : seigneur) est finalement engagé par un jeune homme sans titre, Yaichi. Ce dernier s’avère en fait être le chef d’une bande criminelle spécialisée dans le kidnapping connue sous le nom des « cinq feuilles ». Pourquoi s’intéresser à cette série, à part qu’un chambara qui égratigne l’icône du bushido ça part déjà des bonnes bases ? Deux raisons : c’est l’une des deux séries prévues pour la case horaire noitaminA (Honey & Clover, Higashi no Eden) maintenant à la durée doublée (oh joie céleste) et c’est la nouvelle production du studio Manglobe.

Le studio met les atouts de son côté pour faire oublier la production alimentaire The Sacred Blacksmith de l’année dernière avec ce scénario de départ alléchant, même si on peut regretter qu’ils reviennent avec une adaptation, d’un manga de Natsume ONO (Ristorante Paradisio) certes, mais on aurait pu souhaiter une nouvelle série originale. Le staff fait, comme avec Michiko e Hatchin, la part belle aux nouvelles têtes. Le réalisateur Tomomi MOCHIZUKI n’en est pas à son coup d’essai mais ce sera une première sur le devant de la scène. C’est aussi lui qui sera à l’adaptation du scénario. La direction artistique revient à Michie WATANABE qui est plutôt une habituée des comédies ecchi même si elle aussi fait ses armes comme assistance sur Samurai Champloo, entre autres. Kazuto NAKAZAWA (Les Lendemains de Nadja) s’occupera du chara-design. Les autres postes présentent moins de surprises : Yoshimitsu YAMASHITA (Madlax) à l’animation et Kazuhiro YAMADA (Ergo Proxy, Death Note, Sakura no Mori no Mankai no Shita in Aoi Bungaku Series) à la photographie complètent le tableau.

Si on ne signera pas tout de suite un chèque en blanc à House of Five Leaves, il faudrait savoir manier l’art de l’euphémisme avec talent pour dire que le nouveau Manglobe ne déclenche pas l’enthousiasme dans mon petit cœur de pierre.

 

Giant Killing

Petit avant goût de football avant la coupe du monde 2010

Le manga Giant Killing écrit par le scénariste Masaya TSUNAMOTO et dessiné par Tsujitomo est édité par Kôdansha depuis 2007 et compte déjà 13 volumes. C’est donc avec un léger sourire que l’on accueille ce shônen à thématique footballistique en adaptation animée, quelques mois avant la 19ème coupe du monde de football.

Dans Giant Killing, une petite équipe de football, ETU (East Tokyo United), essaye de percer au sommet de la ligue japonaise. Seulement, après cinq défaites d’affilée, l’équipe n’est pas loin de baisser les bras. Surtout que le moral des joueurs et des fans n’est pas au beau fixe.
D’un autre côté, en Angleterre, il existe un manager et entraîneur de football assez particulier, Tatsumi Takeshi. En trois ans, il a permis à une équipe de 5ème division de se battre d’égal à égal contre des équipes de 2ème division. Son travail consiste à partir d’une équipe un peu nulle, mais avec des capacités et un bon soutien stratégique, et de la faire parvenir au sommet. C’est ainsi que Goto et Nagata, respectivement manager et porte-parole de l’ETU, vont tout faire pour ramener Tatsumi avec eux au Japon.

Le studio DEEN confie la direction de cette adaptation à Yû KÔ, déjà présent sur Chrno Crusade et les saisons 2 et 3 de Zero No Tsukaima. Il est aidé par Toshifumi KAWASE (Umineko no Naku Koro Ni) à la composition. Le chara-design est ici une première pour Tetsuya KUMATANI tandis que la direction artistique est confiée à Junichi HIGASHI (connu aussi sous le nom Junichi AZUMA) qui a déjà travaillé sur de nombreuses œuvres comme Guin Saga, Cowboy Bebop, Umineko no Naku Koro Ni, RahXephon, etc.

 

Ookiku Furikabutte – Natsu no Taikai-hen

Je ferai de toi un vrai lanceur !

Derrière ce titre à rallonge, qui se traduirait sobrement par « Frappe un grand coup – le tournoi estival », se cache la deuxième saison de l’adaptation du manga éponyme de Asa HIGUCHI. On ne change pas une équipe qui gagne : le studio A-1 Pictures a reconduit l’ensemble du staff toujours dirigé par le réalisateur Tsutomu MIZUSHIMA (xxxHolic). L’adaptation reste entre les mains de Yôsuke KURODA (Honey&Clover) tandis que le chara-design est de nouveau signé Takahiko YOSHIDA.

Ren Mihashi n’est pas un lanceur puissant mais il possède une grande variété de lancers, une précision de niveau professionnel et une endurance peu commune. La direction faible de son receveur au collège et la suspicion d’avoir été favorisé par le coach en étant le petit-fils du directeur de son école l’ont fait douter de ses capacités. Mais dans son nouveau lycée, Nishiura, le receveur Takaya Abe, l’entraineuse Momoe et les autres membres de l’équipe lui permettront de s’affirmer. Contre toutes attentes, l’équipe a passé le premier tour des manches régionales qualificatives pour le tournoi national (Koshien) de cet été, mais est-ce que des 1ères années inexpérimentées à ce stade sauront battre des adversaires rompus à la compétition ?

Maintenant que le scénario est bien implanté, est-ce que la série saura intensifier son rythme sans perdre son atout de la première saison avec le gros travail sur les personnages et la gestion de la pression mentale des matchs ? Nul doute que la mangaka Asa HIGUCHI – qui était une psychologue sportive au niveau amateur avant de se lancer dans l’écriture – a encore des cartes dans sa manche.

 

Hakuoki

Des jeunes hommes, en veux-tu ? En voilà !

Cette série est à l’origine un jeu vidéo otomate, un genre traitant de romance dans un contexte historique, destiné à un public essentiellement féminin. Développé par Idea Factory, ce jeu se retrouve sur les consoles PS2, PS3 et PSP.
L’histoire nous raconte donc que Yukimura Chizuru est la fille d’un médecin d’Edo parti travailler à Kyoto en tant que bénévole. Ayant trop peu de nouvelles de son père, Chizuru décide de se rendre elle aussi à Kyoto. En route, elle se fait attaquer par des mercenaires et est témoin d’un combat entre un oni (créature du folklore japonais) et des shinsengumi venus à sa rescousse.

Après un Umineko no Naku Koro Ni très réussi et un 07-Ghost plus que controversé, le studio DEEN (Zipang, Vampire Knight) transformera-t-il l’essai avec Hakuôki ? Il faudra ne pas oublier que l’on compte aussi sur Giant Killing ce printemps. On verra ça avec le travail du réalisateur Osamu YAMASAKI qui s’est bien exercé sur Toward the Terra et du chara-designer Atsuko NAKAJIMA (Violinist of Hamelin, Get Backers, Trinity Blood). Vu l’origine que porte cette série et les visuels d’ores et déjà disponibles, on peut espérer se délecter de combats entre beaux éphèbes tout au long des 13 épisodes annoncés.

 

Armored Trooper VOTOMS : Gen-ei Hen (OAV)

Les adieux d’un immense monsieur ?

Cette saison est décidément celle du retour aux sources du genre mecha. Après Mobile Suit Gundam Unicorn, VOTOMS : Gen-ei Hen signe le retour d’une autre série aux proportions quasi-mythologiques. Alors que les dernières productions de la saga laissaient supposer un délaissement, Sunrise a malgré tout décidé d’offrir un final qui s’annonce épique aux aventures de Chirico. Le maître lui-même, Ryôsuke TAKAHASHI, a d’ailleurs annoncé que cette petite série de 6 OAV serait vraiment l’épilogue de la saga. A moins qu’il ne faille aussi compter avec la future série d’OAV Koei Futatabi (date inconnue) pour entendre cette conclusion, auquel cas on se rapprocherait du format en 13 épisodes cher au réalisateur.

En effet, contrairement à un Unicorn plus audacieux (ou hérétique, ça dépend des points de vue), Gen-ei Hen remet au service une bonne part du staff originel : le réalisateur Ryôsuke TAKAHASHI (VOTOMS, Flag, Hi no Tori), le scénariste Fuyunori GOBU, le chara-designer Norio SHIOYAMA, le mecha-designer Kunio OKAWARA, le compositeur Hiroki INUI et ceux qui ont rejoint l’aventure avec le récent prélude Pailsen Files : le directeur artistique Masanobu NOMURA (L’Autre Monde), le directeur de l’animation Kazuyoshi TAKEUCHI et le compositeur Yasuaki MAEJIMA.

Voilà en tout cas de quoi rassurer les fans qui regarderont peut-être d’un oeil plus bienveillant les deux séries spin-off d’OAV, Case;Irvine et Finder, également prévues – peut-être pour repopulariser la saga – qui seront réalisées par d’autres équipes. Il faut aussi attendre de voir quelle sera la réelle implication de Sunrise sur cette série avec leur autre projet Gundam Unicorn. La question est également posée de savoir si Gen-ei Hen et Koei Futatabi ne sont pas le requiem du méconnu Ryôsuke TAKAHASHI. J’en connais plus d’un qui auront la larme à l’œil si cet adieu aux armes se vérifie. Espérons dans tous les cas un bouquet final en forme d’apothéose.

 

Black Rock Shooter (OAV)

Quand deux phénomènes virtuels fusionnent

À la base, Black Rock Shooter est une série de personnages créés par l’artiste huke. Il s’agit essentiellement de filles tout de noir vêtues, avec un œil d’où s’échappe une fumée colorée.
S’en suit le projet d’une chanson intitulée Black Rock Shooter  composée par Ryo et interprétée par Hatsune Miku. Et oui, la fameuse incarnation du programme de synthétisation vocale Vocaloïd de Crypton. Autant dire qu’entre la popularité de Miku qui n’est plus à faire, sa ressemblance avec Black Rock Shooter et la diffusion du clip sur le net, l’engouement général ne s’est pas fait attendre. Depuis, huke a créé d’autres personnages autour de Black Rock Shooter comme Dead Master, Black Gold Saw ou encore Black Devil Girl sans que l’on ne connaisse réellement l’histoire qui les relie.

C’est dans cette atmosphère que l’annonce de la réalisation d’une OAV de 50 minutes est arrivée. Quelques liens entre les personnages ont filtré comme le fait que Dead Master soit l’antagoniste de Black Rock Shooter ou que Black Gold Saw aide cette dernière, mais rien de plus.
Ce sera Ordet (2ème saison de Shakugan no Shana) qui produira cette OAV sous la supervision de Yutaka YAMAMOTO, le réalisateur de Kannagi.
Le trailer de cet anime très attendu par beaucoup de fans est d’ores et déjà disponible et semble nous promettre beaucoup d’action.

Sans oublier que la production compte mettre en place une grosse campagne autour de ce titre. Du 25 juin au 31 août sera proposé du streaming gratuit, des avant-premières ou encore des distributions gratuites du DVD.

 

Uragiri wa Boku no Namae wo Shitteiru

À vos souhaits jeune homme !

Yuki Sakurai est un jeune homme bien mystérieux, il ne sait rien sur lui car il a été abandonné à sa naissance. Ces derniers temps, il fait des rêves étranges où apparaît toujours le même homme qu’il ne connait pas. Il commence aussi à développer une aptitude étrange qui devient vite incontrôlable : il ressent les émotions profondes des gens rien qu’en les touchant.

C’est alors que tout s’enchaine, Yuki est sauvé d’un accident de voiture par l’homme qui apparait dans ses rêves. Son nom est Zess et il rend notre héros très nostalgique. Puis un autre homme se présente à lui comme étant son grand frère et lui dit qu’il fait partie du clan Gioh. Quel est donc ce clan Gioh ? Quel est le rôle de Yuki là dedans ? Quel est le secret de sa naissance ? Quel est le lien de Zess avec tout ceci? Beaucoup de questions auxquelles Yuki compte bien répondre.

Après 7 volumes édités par Kadokawa Shoten au Japon depuis 2005, le manga de Hotaru OGAGIRI, aussi connu sous le nom « Betrayal Knows my Name » est adapté par J.C. Staff (Excel Saga, Azumanga Daioh, Shakugan no Shana) à l’écran pour le plus grand plaisir des fans de shônen-ai.
La musique de Jin AKETAGAWA (Karas, Noein, Canaan) accompagnera le chara-design de Mai MATSUURA et de Yumi NAKAYAMA (Karin) sous la direction artistique de Hirotsugu KAKOI (07-Ghost). On récupère encore un membre du staff de 07-Ghost à la composition de la série, Natsuko TAKAHASHI, tandis que la réalisation est confiée à Katsushi SAKURABI (Shingetsutan Tsukihime).

Encore de beaux jeunes hommes aux visages torturés… Sauront-ils nous émouvoir ?

 

Rainbow – Nisha Rokubô no Shichinin

Non, ce n’est pas une série pour yaoistes

Un temps prévu pour le printemps 2009, c’est finalement avec un an de retard que Madhouse adapte ce seinen de George ABE (scénario) et de Masasumi KAKIZAKI (dessins). L’histoire se déroule en 1955 au Japon. Dix ans après la fin de la guerre, la situation de l’archipel est très dure et une partie de sa jeunesse est livrée à elle-même. Sept jeunes adolescents se retrouvent enfermés dans la maison de correction Shio, particulièrement répressive. Le groupe devra apprendre à se serrer les coudes pour survivre dans un univers hostile ; l’espoir de liberté va les souder.

Pour se faire pardonner de son retard, le studio a mis les petits plats dans les gigantesques en réunissant un staff expérimenté. La réalisateur Hiroshi KOJINA (Majin Tantei Nôgami Neuro) sera épaulé par le scénariste Hideo TAKAYASHIKI (Kaiji, Akagi). La partie technique est entre les mains de Tomoyuki SHIMIZU (Ningen Shikaku in Aoi Bungaku Series) à la direction artistique, de Yukihiro MASUMOTO (Summer Wars) à la photographie et de Ai KIKUCHI (Majin Tantei Nôgami Neuro) à l’animation et au chara-design. Si l’absence de trailer ne permet pas de se forger une première impression, le seul pedigree du casting est en soi un élément rassurant.

Nul besoin d’être grand clerc pour comprendre que cette histoire qui respire la joie de vivre a de quoi attirer tels des vautours les fans d’ambiance sombre. Si la réputation du studio et les noms sur l’affiche sont autant de garanties, il reste à voir si l’équilibre délicat entre la violence, la dénonciation de drame social et les liens qui uniront le groupe sera trouvé.

 

Marie & Gali 2.0

La science à la portée de nos enfants gothiques !

Après le succès de la première saison de 40 épisodes terminée mi-mars 2010, on pourra de nouveau suivre de petits cours de sciences chantés et dansés par nos héros loufoques dans Marie & Gali 2.0 au printemps 2010.
On retrouvera Marika, notre héroïne gothic lolita, ainsi que sa peluche-chat vivante Pet et Galileo, le célèbre astronome revisité aux goûts de la Toei Animation pour les petites têtes brunes japonaises.
Dans cette version 2.0, Marika et Galileo seront rejoints par un nouveau personnage : Norika. D’après les premières images, cette petite fille est du même âge que Marika mais totalement différente. Loin d’être gothique, Norika est blonde, habillée en blanc et son petit compagnon est un cochon rose.

Cette série est principalement destinée aux enfants, d’où sa déclinaison en épisodes de 5 minutes et sa diffusion sur NHK Educational. Le principe est intéressant et, vu le lancement d’une 2ème saison, le succès est réel.
L’idée originale vient d’Izumi TODO, simple pseudonyme pour désigner l’équipe créative de Toei Animation qui vient de « Toei Doka Oizumi Studio ». Une boîte que l’on retrouve non sans surprise derrière Magical DoReMi, tout comme le responsable de la composition, Takashi YAMADA. Le chara-design de Yoshihiko UMAKOSHI change d’optique après Casshern Sins et Magical DoReMi avec le personnage de Marika, mais devrait aisément reprendre ses marques grâce à Norika.

 

Angel Beats!

Là où les anges se battent en tenues d’écolières

Cette nouvelle série du printemps nous place dans un monde dans l’au-delà. Dans cet univers, notre héros Otonashi a perdu la mémoire de sa vie quand il est mort. Il arrive dans une école entre la Terre et le Paradis et se retrouve pris entre deux feux. D’un côté Yuri, qui est à la tête du « Shinda Sekai Sensen » (SSS), des rebelles envers Dieu, désire le recruter. De l’autre, Tenshi, la présidente du conseil des étudiants de l’école, combat le SSS.

Angel Beats est une franchise conçue par Jun MAEDA et dessinée par Na-Ga qui font tous les deux partie du studio de visual novels Key ayant déjà développé Kanon, Air ou Clannad. La série animée sera produite par P.A. Works (CANAAN, True Tears) et Aniplex sous la forme de 13 épisodes dirigés par Seiji KISHI (Ragnarok The Animation et Tentai Senshi Sunred). Le chara-design sera repris par Katsuzo HIRATA tandis que Jun MAEDA s’occupera de la composition de la série.
Le projet a déjà donné naissance à deux mangas et une série d’histoires illustrées éditées dans Dengeki G’s Magazine.

Une fois le premier trailer visionné, on reste un peu sur notre faim. Sur une musique au rythme douteux, on assiste à la projection d’une galerie de personnages au chara-design lisse, très conventionnel. Tout ceci ne séduit pas énormément pour l’instant. Avec la version 8 du trailer par contre, on s’attend à pas mal d’actions et on entrevoit réellement le caractère de chacun, notre héros va être pas mal secoué.

 

Senkô no Night Raid

Lotus Bleu Reloaded

Avec le série originale Senko no Night Raid, le studio A-1 Pictures nous propose un retour sur un passage historique rarement traité : les tensions sino-japonaises au début des années 30. De connaissance il n’y a que Zipang qui s’y est essayé. L’action se situe dans la ville cosmopolite de Shanghai en 1931, année de l’invasion de la Mandchourie plus au Nord, et suit les opérations en sous-marin d’un groupe d’espionnage (fictif), le Sakurai Kikan.

Senko no Night Raid prend la suite du décevant Sora no Woto pour le lancement de la nouvelle case horaire Anime no Chikara (litt. « le pouvoir des animes ») qui veut proposer des animes originaux (comprendre : ce ne sont pas des adaptations). Dirigée par Jun MATSUMOTO et sur un scénario de Shinsuke ONISHI qui ont déjà travaillé ensemble aux mêmes postes respectifs sur Persona Trinity Soul, cette série porte le poids du monde sur ses épaules : elle doit ancrer cette nouvelle case horaire et dissiper les doutes engendrés par son prédécesseur. Gageons que son objectivité sur la retranscription de ces évènements historiques où l’archipel joue le mauvais rôle sera un ingrédient essentiel pour redorer une jeune étoile déjà ternie. Et ce n’est pas l’inexpérience à ces postes du chara-designer Keigo SASAKI et du directeur de la photographie Shinji NASU qui nous rassurera outre mesure même si les quelques secondes de la bande-annonce sont encourageantes pour la maitrise technique.

 

 

 

 

Les animes suivants n’ont pu être traités (les liens mènent aux fiches AK correspondantes) :

Bakugan Battle Brawlers : New Vestroia, Yutori-chan, Ikkitousen – Xtreme Xecutor, Hana Kappa, Shin Koihime†Musô : Otome Tairan, Ketsu-Inu, B Gata H Kei, Ring ni Kakero 1 – Shadow-hen, Kaichô wa Maid-sama!, Ichiban Ushiro no Daimaō, Jewelpet Tinkle, Romance of Three Kingdoms, Metal Fight Beyblade : ~Explosion~, Hime Chen! Otogi Chikku Idol Lilpri, Mayoi Neko Overrun! et Kiss×sis.

 

Ont participé à la rédaction de ce dossier : Afloplouf et Emilie.

24 commentaires

En fait, parmi les animés présentés, y en a presque aucun qui m'intéresse. XD
J'exagère : Heroman (je lis Ultimo et j'aime beaucoup), Giant Killing, Gundam Unicorn, Black Rock Shooter !
Sinon Ichiban et Mayoi Neko Overrun, B Gata H Kei (peut-être) m'intéressent.
2 jadraja le 01/04/2010
Ah mais en voila une belle fournée! Enfin j'espère.

Vaguement, je dirais:

-Yojô-han Shinwa Taikei
-Arakawa under the Bridge
-Black Rock Shooter (OAV)
-Uragiri wa Boku no Namae wo Shitteiru
-Rainbow - Nisha Rokubô no Shichinin
-Angel Beats!
-Senkô no Night Raid

Ça fait déjà beaucoup. Je serai donc plus dur avec les séries qui donneront mauvaise impression dès le début.
3 Dareen le 01/04/2010
Pourquoi Rainbow est en bas de la liste, c'est pourtant l'un des animes les plus prometteurs de la saison :(

Cette saison s'annonce bien bonne mais vu les synopsis je n'ai pas l'impression que l'on aura un véritable chef d'oeuvre comme Casshern Sins... peut être yojo han.
4 El Nounourso le 01/04/2010
Il n'y a pas vraiment de classement, à part Yojô-han Shinwa Taikei tout en haut.

Rainbow est prometteur en effet, le manga est réputé.
5 AngelMJ le 01/04/2010
Ca craint, il y a rien qui me tente O__o!

Black Rock Shooter peut être... et encore...

C'est pas ce printemps que je vais m'y remettre en tout cas ^^'

*Retour voir s'il n'y a pas un nouvel épisode du Durarara!!!*
6 Afloplouf le 01/04/2010
Je trouve au contraire que cette saison a du potentiel entre les deux noitaminA (Yojo han Shinwa Taikei et House of Five Leaves) et l'adaptation Rainbow justement. Surtout il y aura déjà la saison 2 de OoFuri qui ne me décevra pas je le sens. J'espère aussi de bonnes surprises sur Heroman, Senko no Night Raid et Arakawa under the Bridge (dans cet ordre). En tout cas entre ça et la fin de Durarara, ça va être dur de suivre le rythme, la concurrence pourrait être lourde. :P Souhaitons-nous telle "malchance", l'embarras du choix, ça faisait longtemps.
Dommage que Rainbow (Nisha Rokubô no Shichinin) ne soit pas (totalement) pour les yaoistes ='(
8 Afloplouf le 01/04/2010
Oh ca va les yaoistes, entre Uragiri machin et Hakuouki, il y a de quoi vous rassasier. ;)
9 Alister le 02/04/2010
Comme afloplouf, je trouve que cette saison a du potentiel et mes deux choix principaux porteront évidemment moi aussi sur Yojô-han Shinwa Taikei et House of Five Leaves. Pour le reste Rainbow, Senko no Night Raid et Arakawa under the Bridge seront aussi probablement des animés à voir...et pourquoi pas mon lancement dans un petit yaoï si je trouve le temps...

Oui c'est sûr, ça fait quelques saisons que j'avais pas ressentie un choix pareil aussi. Surtout qu'apparemment on est tous encore en train de suivre Durarara!!
10 Triskel le 02/04/2010
Ah oui, Hakuouki pour les yaoïstes :D ? Non mais :p. Et UraBoku m'a tout l'air d'un shonen-aï très safe. Pour les yaoïstes il y a toujours Sex Pistols et (peut-être) Ai no Kusabi.

Bon, pour moi cette saison est surchargée, j'aurai à en virer quelques unes pour les vacances c'est sûr, mais je compte regarder les premiers épisodes de tout ce qui m'intéresse. Tout de même, dans les grandes lignes, celles que je suis presque certaine de regarder sont Arakawa Under the Bridge, Saraiya Goyou, OoFuri S2 <3, UraBoku, Hakuouki (à la condition que le visuel soit réussi, DEEN me rend sceptique mais le PV est beau) et Working!!. Je teste Heroman (c'est vrai que ça rappelle les cartoons du samedi matin et la musique est super), Giant Killing, Rainbow et Kaichou wa Maid-Sama. Et je me sentirai surement obligée de regarder K-ON!! mais c'est loin dans mes priorités.

Pour les OAVs, Black Rock Shooter et peut-être enfin Ai no Kusabi 2010 <3.
Comme Afloplouf et Alister, je trouve que cette saison a du potentiel. Et j'attends beaucoup de House of Five Leaves et Yojô-han Shinwa Taikei. Quant a Hakuouki, je ne me fais pas d'illusion quant a l'adaptation de cet otome game par Deen... :(

Sinon je remarque que c'est un printemps avec vraiment peu de séries harem et "moe", par comparaison avec les saisons precedentes.
Le lineup le plus intéressant que j'ai vu depuis 2008 je crois. Et puis surtout le retour de Yuasa, merde ! Reste plus qu'à voir ce que ça donne à l'écran.
13 allbrice le 02/04/2010
Ikkitousen - Xtreme Xecutor ne fait pas l'objet d'une présentation :O Vous allez tou(te)s le regretter ><
Moi je me laisserai bien tenter par House of five leaves et peut être Hero man. Pour Angel Beats je vais attendre les réactions dans le forum :)
15 Afloplouf le 02/04/2010
@Citation
Et puis surtout le retour de Yuasa, merde ! Reste plus qu'à voir ce que ça donne à l'écran.

Sauf que cette fois, il s'agit d'une adaptation et non d'une série originale. Certes, peu de gens (à commencer par moi) connaissent le support original et YUASA prendra peut-être pas mal de libertés mais il reste à voir quel marge de manœuvre et d'expression de sa créativité il aura. Je reste cependant confiant.
16 le-crepusculaire le 03/04/2010
"House of Five Leaves" est l'anime qui m'attire le plus ! (D'ailleurs si quelqu'un peu me trouver la musique de l'extrait...)
Si non... Black rock Shooter pourait être simpas... J'irai jetter un oeil dessus... ^^"
17 LèNooU le 07/04/2010
JustE pour siGnalé à Sacrilège et à Ceux ki pense la mèm Chose ke Rainbow n'est absolument pa un yaoi et heureusement ke ça nan n'est pas un
Parce que c'est une série magifique!!!! et d'amitié sincère entre des garçonS
C'est pas ke je n'aime pas les yaoi mais ke comparé cette série à un yaoi est parfaitement impossible.

cette série et durarara m'ont l'air prometteuses!!!!
salut <3 biz
Rien de vraiment marquant, mais quelques titres m'ont l'air sympthiques quand même, on verra bien...
19 Kusanagi-San le 08/04/2010
Et quid de l'adaptation d'Iron man par Madhaouse ?
20 Afloplouf le 08/04/2010
@Citation
Et quid de l'adaptation d'Iron man par Madhaouse ?

Je ne sais plus. C'était initialement prévu pour ce printemps et puis plus de nouvelles depuis le trailer. C'est un peu comme Rainbow qui avait été annoncé pour le printemps 2009.
Il est peut-être repoussé à cet été ? En tout cas, le projet avait l'air assez avancé donc il ne sera pas annulé selon toute vraisemblance.
21 Sayurisan le 25/04/2010
Tout me tente et rien ne me tente T__T
Je suis perdue,j'ai honte...Déjà que je n'ai pas vu un bon paquet des animes 2009 dont plusieurs me captivèrent.

Merci pour cette présentation en tout cas
C'est peut-être un peu tard pour en parler, mais serais je le seul à avoir remarqué le "ce printemps 2009" sur la page d'accueil ? :>
23 manga en folie le 25/04/2012
j'adore Angel Beats c'est une de mes anime préférer !
je connais aussi Working !! ,Black rock shooter et k-on

[…] le printemps, les cerisiers sont toujours en fleurs, il fait froid, la nouvelle fournée d’anime a commencé, je n’ai toujours pas fini d’écrire mon bilan des séries de l’hiver […]

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