Critique de l'anime Dokuro-chan

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Bon ok merveilleux ça fait penser à une jolie forêt pleine de gentils animaux qui parlent entre eux de façon fort courtoise et là force est de constater qu'avec cette série, merveilleux c'est pas nécessairement le mot le mieux choisi...

Bref, Dokuro-chan fait partie de ces productions difficilement classables tant elles respirent le n'importe quoi et l'absurde le plus complet. Ici, ne cherchez pas de scénario, de talent graphique ou encore une ambiance particulière. Vous avez simplement ouvert la porte de l'asile. M'enfin on va quand même essayer de détailler ça comme de coutume.

Le graphisme donc. Ben là visiblement le studio a voulu s'économiser une réalisation coûteuse et a donc largement traité cet aspect très haut par dessus la jambe, genre par dessus la jambe d'une contortionniste du cirque national chinois en plein entrainement. Tout ça pour dire que c'est loin de casser de briques mais que c'est largement suffisant pour nous faire comprendre les scènes. C'est tout ce qu'on demande.

Pour la musique, à mon sens, le couple opening-ending est à vomir mais je soupçonne la prod de l'avoir fait exprès afin de nous imprégner dès le départ de la crispation que peut ressentir le héros tout au long de l'anime au contact de Dokuro. Bref c'est nul mais c'est ptet voulu et c'est parfaitement en phase avec la série.

Quant au scénario ben vous l'avez dans le synopsis et là forcément on voit bien que c'est juste un gros prétexte pour des mises à mort répétées et loufoques. Finalement on a l'impression d'observer un "happy tree friends" à la sauce nippone. Du coup on peut trouver ça répétitif et ras-les-paquerettes ou bien accrocher à cette violence gratuite mais bien peu dérangeante au vu du contexte et rigoler un bon coup.

En définitive, je pense pouvoir dire que cette chtite série n'est pas désagréable du moment qu'on accroche au principe de base de l'anime qui je l'accorde n'est pas commun. De toute façon 8 x 12mn c'est pas long alors prenez votre courage à 2 mains (ou dès aujourd'hui...) et lancez vous dans le monde mervei... et me voilà reparti chez les écureuils. En résumé, essayez vous pourriez rigoler.

Bon alors je vous laisse la note et je vais faire soigner ma disneyïte aigue.