Ta, ta, ta. Cette animation est gigantesque.
Que dire, Miyazaki, quand il doit nous surprendre et nous faire aimer, il est doué.
Bon !
Scénario :
Eh bien, le scénario de Princesse Mononoké n'est pas si original que ça, bon, l'écologie, c'est quand même beau ! Mais il captive, au bout d'un moment, on est obligé de rentrer dedans.
Personnages :
L'héroïne, dans ce genre d'animation, j'ai tendance à la détester, mais San révèle un caractère complètement agressif envers ceux qu'elle n'aime pas, mais pourtant si doux.
Ashitaka, je ne l'ai pas vraiment aimé, mais ça c'est juste une question de goût.
OST :
Carrément rien à dire dessus, pour dire, je l'ai dans mon Ipod. C'est juste envoutant, ça vous donne des frissons, vos larmes coulent sur vos joues, et tout à coup, vous voulez à tout prix devenir chef d'orchestre pour diriger un aussi beau monde. Hisaishi est un maître. Le caractère asiatique (plus spécialement japonais) est bien retrouvé avec des accords brisés et des neuvièmes de dominante. Bref, rien à dire.
Déroulement de l'histoire :
Rien à dire ! Cf commentaires ci-dessus.
Graphismes :
Vieux, mais franchement intéressant et beau.