Ce que nicky11 ne doit pas comprendre, avec son "manager manga", c'est la différence entre shoujou-ai et shonen :)
J'ai été pris au quart de tour. Venant juste de finir le sublime Kannazuki no miko, je me prend à SP, et j'en lis de belles sur la toile, un conflit pour savoir lequel des 2 on place n°1 pour les shoujo-ai / yuri.
On commence, premier épisode, on est déjà préparé à regarder un petit shoujo-ai, pour ceux qui le commence sans regard envers sa notoriété, on se dit que l'on va passer un bon moment.
Les premiers épisodes sont bénins, et cela n'apparait que comme un caractère stéréotypé. Le premier episode saisit un minimum le spectateur avec une scène de baiser non accomplit qui laisse à deviner une suite.
On passe plusieurs épisodes, et on commence à comprendre et à cerner le chara design, on apprécie les petites gaffes assez embarrassante pour la protagoniste. On devine bien sur un caractère basé sur l'amour, et les histoires d'amour sont assez visible.
C'est alors que l'on tombe sur L'EPISODE, l'épisode qui pour les plus fin, et les plus exigent, sera le déclenchement ultime de cette série. On comprend tout de suite cette sensation de nouveauté, et l'impression de stéréotype dissparait littéralement.
Une seule chose nous importe, voir vite la suite !
Pour ne pas vous spoiller car cela serait gacher le manga, sachez juste que sous ces 2 banales histoires d'amour un peu à l'aveuglette, 2 histoires autres, autant philosophique, tabou, anti religion et simplement merveilleuse vous bercerons dans le secret de SP.
On apprécie cette anime pour ces 2 premières histoires, on ne peut plus en décrochez lorsque l'on à compris ce qu'il se cachait réellement sous cette anime.
A placer n°1 ex aequo avec Kannazuki No Miko, les 2 pilliers du shoujou-ai tel GTO, FMA