Poste... Mortem. Garantis derniers mots
Shigofumi m'a tout autant fait penser à Jigoku Shôjo qu'à Kino no tabi ; juste pour en souligner le potentiel comme l'on fait les critiques précédents. Tout comme dans Jigoku shojo, nous avons là un personnage qui fait le lien entre le monde des vivants et celui des morts, à la différence majeure que "la fille des enfers" sert les premiers sous condition, tandis que "la postière du bureau des bonnes nouvelles" sert les morts sans distinction. Elle commence très fort, dans la violence et le glauque, avant que l'intrigue ne se focalise plus que sur le personnage principal. Une seule trame narrative donc, qui soulève bien des questions sans apporter de réponses ni de véritable [...] Lire la critique