Albator - Ah le Batard !

Albator c'est foutrement bien foutu. Franchement ça pète, c'est jolie et tout.

Dans Albator y a un mec c'est un corsaire de l'espace. Il a un vaisseau y défouraille tout avec. Ah Le Batard. Quand il se sent chaud il prend la barre et bim, il envoie la purée. Comme un fou malade il se jette sur les vaisseaux des batards d'en face et les empale !

Bon AhLeBatard n'est pas tout seul, pas fou le borgne. Comme tout ceux qui pèsent il a un équipage de furieux, de vrais bonhommes, des tatoués. Les gens y passent un teste de vrai homme avant de monter sur ce bateau spatial. Et quand Le Batard il les lâche, t'inquiète y connaissent le métier.

Dans tout ça y a une histoire, avec un mec qui change de camp comme de chemises, et il a une sacré garde robe. On sait y veut faire quelque chose de sa vie, mais on est pas sur de savoir quoi. Quand il était plus jeune, parce qu'il était pas content, il a fait exploser la serre familiale. Y avait sa meuf et son frère dedans. C'est un mec, tu vois... C'est compliqué quoi, les relations familiales tout ça. Donc ce mec il veut empêcher AhLeBatard de vivre, et AhLeBatard lui la vie il en a rien à battre. Rien y a foutre du système qu'il pense, tous des batards de toute façon.

Il se passe des trucs, le mec y rencontre une blonde, y vont réparer des bidules dans des planètes paumés, on comprend pas pourquoi. Après y a des trahisons, la petite elfe de l'espace qui raconte des choses, limite on s'en fout, c'est pour faire jolie quoi. Un peu de tatanne, et enfin c'est repartie, ça se fout dessus fâché contre des croiseurs interstellaires. Par centaines. AhLeBatard balance sa cape, toute une vie d'entrainement pour arriver à ce subtil mouvement, et prend la barre. Et bim, il envoie la purée. Il s'en fout partout, il tape des records, il se fait plaisir, il paie son numéro. Il fait le spectacle ! Il assure le show, c'est pour ça qu'on regarde le film.

Après c'est la fin.

Finalement on n'a pas tout bien compri du pourquoi de la raison du comment, mais c'était vachement jolie quand même.

Ah Le Batard...