Devilman Crybaby

Devilman Crybaby

Akira n'est bon à rien. Lorsque son ami d'enfance Ryo surgit sans crier gare, il est prêt à tout pour le suivre. Au cours d'une fête satanique, Akira est mystérieusement possédé par un démon ancestral, Amon. Il prend alors conscience que les démons se réveillent peu à peu, multiplient les meurtres, les abominations.
De l'humanité qui lui reste et le sépare du monstre, il gagne un nom, celui de Devilman. Sous les directives de Ryo, scientifique génial, il tente d'éradiquer la menace démoniaque. Reste à déterminer qui sont les véritables démons.

Synopsis soumis par Minuit

Ayumu Murase (Ryō Asuka), Kouki Uchiyama (Akira Fudō), Ami Koshimizu (Mikiko Kawamoto), Atsuko Tanaka (Sirene), Kenjiro Tsuda (Nagasaki), Megumi Han (Miki Makimura), Rikiya Koyama (Kaim), AFRA (Hie), Hannya (Babo), KEN THE 390 (Wamu), Subaru Kimura (Gabi), Young Dais (Kukun)

  • Licencié : oui
  • Titre français : Devilman Crybaby
  • Editeur: Netflix (VOD)
Devilman Crybaby – Comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinéma » Publié le 26/01/2018

YUASA et Science Saru adapte à leur sauce un manga de Go NAGAI : Devilman. La jeunesse oublie ses soucis dans des fêtes sans limite et les démons s'invitent à la boum.

  • Devilman Crybaby - Screenshot #1
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Critiques des membres

#Par GTZ le 24-02-2018

8
Devilman Crybaby - Judgement

Yuasa Masaaki, pour beaucoup de passants ce nom ne signifiera que peu de choses. Pour l'informé, le nez alerte, l’œil ouvert, pas trop plissé, l'évocation de ce patronyme aura tout autre effet. Parlons un peu du monsieur, chose rare de ma part, mais ici il est important de le faire. Je n'ai pas forcément vu beaucoup de prod du gaillard en question, mais ce que j'ai vu fut tout de même assez marquant pour soulever des caractéristiques premières. Dans un premier temps, ce que l’œil de tout un chacun repérera, c'est le chara design, la pâte graphique, le style d'animation. Comme je l'avais écrit sur Kemonozume, autre réalisation de notre serviteur (pas moi hein, Yuasa quoi), ce [...] Lire la critique

#Par Minuit le 09-01-2018

9
Car l'enfer c'est les autres

Netflix semble bien décidé à creuser son trou dans le milieu de moins en moins fermé de la japanime. Alors que le géant américain produit à tour de bras pour occuper le terrain, le voici qui donne à Yuasa et son studio le loisir de réinterpréter librement un classique du manga. Le résultat est brillant. Le premier épisode est un kaléidoscope. Perturbant sans doute, diablement efficace en tout cas. Il annonce le ton, le caractère de la série, son style surtout. C’est incisif, très incisif. C’est incisif parce que c’est bref, parce que c’est efficace. Là où beaucoup de séries modernes adoptent une narration en dents de scie, avec des phases actives et des phases passives — dans certains [...] Lire la critique

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