Azumanga Daioh

J'ai failli passer à coté de cet animé dont le premier épisode ne m'avait pas beaucoup plu. Fort heureusement, l'ennui aidant, j'ai tout de même persévéré et visionné la suite. Bien m'en a pris. Ce qui ne m'avait pas plu dès le début ce sont les graphismes, car le chara-design m'a vraiment fait un drôle d'effet, surtout les yeux gigantesques : quand j'ai vu le personnage d'Osaka, j'ai failli laisser tomber aussitôt. Donc pour moi le graphisme, chara-design et couleurs (tout de même assez ternes je trouve), est le point faible de cet animé. Mais c'est probablement très subjectif comme point de vue. De toute façon au fur et à mesure des épisodes, j'ai fini par m'habituer au style de [...] Lire la critique

Appâtée par les critiques, je me suis laissée tenter par l'animé. Je serai brève : c'est loooong, c'est leeeent et les scènes ne sont vraiment drôles que lorsque les professeurs apparaissent. Ah, la prof d'anglais complètement déjantée, la prof de sport bien sous tous rapports et le prof obsédé par ses élèves en maillot de bain... enfin, les filles en maillot de bain. Mais dès qu'on retourne au quotidien des lycéennes, l'ambiance devient gnangnan... Et on passe plus de temps à regarder l'aiguille de sa montre qu'à suivre un scénario très, mais alors très répétitif. Sans doute attendais-je trop de cette série. Vu les critiques, je m'étais dit, en effet, qu'il devait être aussi poilant que [...] Lire la critique

Azumanga Daioh, une série bourrée d'humour mais également de bons sentiments qui s'inspire de la vie quotidienne d'un groupe de lycéennes. Parlons d'abord du graphisme et de l'animation qui sont bien réalisés, simples et sans fioritures, ce qui permet de visionner les épisodes de manière détendue,et d'apprècier pleinement le charme si particulier de la série. Le chara design est également agréable à regarder, malgré le fait que les différents personnages et caractères respectifs soient relativement classiques (la peste survitaminée, l'élève [...] Lire la critique

Autant vous le dire tout de suite, Azumanga Daioh est pour moi une référence de l'animation japonaise : c'est comme la cochon, tout y est bon ! Cette série réussit en effet l'exploit de nous fait rire avec le quotidien de 6 lycéennes somme toutes assez banales. Alors certes, les caractères de chacune sont exacerbés à l'extrême, mais tout reste réaliste. Comme Kagura, on a tous connu quelqu'un qui cache une grande sensibilité sous des aspects brutaux. Ou comme Yomi, une fille cumulant des régimes pour affiner une silhouette pourtant parfaite. Même la craquante Chiyo est une surdouée parfaitement plausible. Ce sont les interactions de ces personnages normaux qui font que le comique de [...] Lire la critique

Azumanga Daioh n'a aucune ressemblance avec les animes habituels, il n'y a pas d'histoire suivie (il faut dire qu'il est tiré d'un manga en strip de 4 cases), on suit juste le quotidien de quelques lycéennes, aucuns garçons ; tout tient sur la différence entre les personnages : Chiyo la surdouée qui est la coqueluche de toute la classe, Sakaki l'amoureuse (à la folie) des chats, qui ne peut pas en approcher un sans se faire déchiqueter (vive le running gag), Osaka qui a certainement des ascendances corses etc. On suit donc leurs aventures, telles que sortir acheter une gomme le soir quand on a 11 ans, ou bien encore arriver à se [...] Lire la critique

J'ai conscience que le synopsis ne donne pas particulièrement envie de regarder cet anime. Ce serait pourtant bien dommage de passer à côté d'une telle série car elle est unique en son genre. Azumanga Diaoh est cultissime. L'humour, typiquement japonais, est franchement barré et chaque moment de la vie quotidienne des lycéennes est un prétexte à tout et n'importe quoi. Certains reprochent à cet anime une certaine lenteur. Il est vrai qu'il y a de nombreux moments où il ne se passe quasiment rien. Mais cet aspect d'Azumanga Daioh permet de créer des effets originaux, notamment grâce à la bande sonore et à l'attitude de certains personnages. Les personnages, justement, ont bénéficié [...] Lire la critique