Denno Coil est un anime qui mérite vraiment d'être davantage connu et reconnu par le public ! En effet, c'est un véritable coup de coeur. Avant de commencer le visionnage, je m'attendais à pas grand chose car je pensais que cet anime s'adressait à un public d'ados. J'ai regardé le premier épisode d'un oeil et à la fin, je me suis dit que c'était pas mal mais je n'avais pas tout compris alors j'ai repris depuis le début mais regardant avec les deux yeux et les deux oreilles cette fois-ci. Et ce fut avec un plaisir immense que je me suis immergé dans ce monde infantile d'une très grande richesse. Malgré l'âge des personnages, c'est aussi un anime très intelligent qui fourmille d'idées [...] Lire la critique
Dennō Coil
- Format : Série TV
- Année : 2007
- Titre original : Dennō Coil
- Nombre d'épisodes : 26
- Studio : Madhouse
- Réalisation : Iso Mitsuo
- Production : Bandai Visual, Madhouse, NHK Enterprises, Tokuma Shoten
- Site officiel : http://www.tokuma.jp/coil/
- Saison : Printemps 2007
- AKA :
- 電脳コイル
- Coil - A Circle of Children
- Computer Coil
Dans un futur proche où les cybertechnologies ont envahi le quotidien, Yûko/Yasako et sa petite soeur Kyôko s'apprêtent à emménager dans la ville de Daikoku où réside déjà leur grand-mère. Une étrange rumeur court dans cette ville, selon laquelle un grand nombre d'animaux virtuels auraient disparu ces derniers temps. Or, grâce à des lunettes spéciales, les deux enfants possèdent justement un de ces animaux, un chien appelé Densuke.
Alors qu'ils se promènent tous les trois dans la ville, Densuke poursuit soudain une tâche bizarre sur le sol, laquelle devient rapidement un être tout noir, un "illégal". En voulant l'attraper, Densuke disparaît dans une réalité alternative. Pour le retrouver, Yûko fait appel à la jeune Fumie, détective pour animaux virtuels, membre de l'agence de détectives électroniques Coil (Coil Dennô Tantei Kyoku). Tout se complique lorsqu'une étrange sphère, surnommée Kyû-chan, apparait et commence à détruire la réalité alternative.
Synopsis soumis par Starrynight
- Studio d'animation : Madhouse
- Production : Bandai Visual, Madhouse, NHK Enterprises, Tokuma Shoten
- Réalisation : Iso Mitsuo
- Chara-design : Honda Takeshi
- Auteur : Iso Mitsuo
- Musique : Saitô Tsuneyoshi
- Diffuseur : NHK
- Script : Iso Mitsuo (ep. 1-26), Miyamura Yûko (ep. 7)
- Animation clé : Inoue Toshiyuki (opening)
- Assistance à la réalisation : Takahashi Tomoya , Yasukawa Masaru
- Couleurs : Nakauchi Terumi
- Directeur artistique : Gôroku Hiroshi
- Directeur d'épisode : Aoyagi Hironori (ep. 16, 23), Hiramatsu Tadashi (ep. 10), Ikezoe Takahiro (ep. 5), Iwasaki Tarô (ep. 8), Kimura Nobukage (ep. 6, 12, 19, 22, 26), Nomura Kazuya (ep. 13, 17, 25), Sasajima Keiichi (ep. 21), Suzuki Takuo (ep. 7, 9, 11, 18, 20), Takahashi Tomoya (ep. 11, 14, 24), Yasukawa Masaru (ep. 1-2, 4, 15, 20, 26), Yokoyama Akitoshi (ep. 3)
- Directeur de l'animation : Aoyama Hiroyuki (ep. 23), Arai Kôichi (ep. 8), Hata Ayako (ep. 6, 12, 18-19, 23), Honda Takeshi (ep. 1-2), Honma Akira (ep. 19, 24), Inoue Ei (ep. 9), Inoue Toshiyuki (ep. 11, 14, 16-17, 21, 26), Itazu Yoshimi (ep. 4, 15, 20, 25), Itô Nobutake (ep. 3), Mukouda Takashi (ep. 10), Oshiyama Kiyotaka (ep. 5, 13, 19, 22, 24), Ozaki Kazutaka (ep. 7), Yoshikawa Shinichi (ep. 16, 21)
- Directeur de l'animation en chef : Honda Takeshi, Inoue Toshiyuki, Itazu Yoshimi (ep. 18-26)
- Directeur de la photographie : Ôba Naoyuki (ep. 1-15)
- Directeur du son : Momose Keiichi
- Montage : Sadamatsu Takeshi
- Producteur (staff) : Maruyama Masao, Yoshimoto Satoshi
- Storyboard : Fukuda Michio (ep. 17), Hiramatsu Tadashi (ep. 10), Ikezoe Takahiro (ep. 16), Iso Mitsuo (ep. 1, 12, 17, 19, 26), Masui Soichi (ep. 8), Matsubayashi Tadahito (ep. 6), Murata Kazuya (ep. 2, 13, 22), Nomura Kazuya (ep. 15, 21-23, 25), Ôtsuka Masahiko (ep. 6), Sasajima Keiichi (ep. 21), Sasaki Shinsaku (ep. 4, 7, 9, 18, 20), Takahashi Tomoya (ep. 24), Tsuruoka Kojirô (ep. 19), Yasukawa Masaru (ep. 14), Yokoyama Akitoshi (ep. 3, 5, 11)
Akiko Yajima (Kyoko), Fumiko Orikasa (Yasako), Houko Kuwashima (Isako), Romi Paku (Haraken), Sachiko Kojima (Fumie), Junko Noda (Obachan), Kikumi Umeda (Denpa), Mayumi Yamaguchi (Gachagiri), Reiko Suzuki (Megabaa), Rie Saitou (Daichi), Yumiko Kobayashi (Akira), Yûsuke Numata (Namecchi)
- Licencié : oui
- Titre français : Dennō Coil
- Editeur: Dybex
- Denno Coil (Manga - 2007)
Dennô Coil est une série animée de 26 épisodes diffusée au Japon par la NHK à partir d’avril 2007. Son titre fait référence au nom du groupe dont fait partie l’héroïne : 'Coil Dennô Tantei Kyoku', soit littéralement 'l’agence de détective électronique Coil'. Lire l'article
Critiques des membres
#Par Deluxe Fan le 30-05-2011
Dennô Coil : Mode sans échec Si vous demandez à un ingénieur en cybernétique ou à un développeur de jeux vidéo quelle sera la prochaine grande évolution de l’ère numérique, ils vous parleront peut-être de la Réalité Augmentée. Le principe, c’est de minimiser l’interface matérielle entre les données informatiques et le système sensoriel humain. Autrement dit, il s’agit de superposer à notre monde réel un monde virtuel avec lequel on pourra interagir en utilisant nos sens tels que la vue, l’ouïe ou le toucher. Cette technologie, dont on commence tout juste à entrevoir les capacités, ouvre tout un tas de possibilités qui à terme permettront de faire un vrai mélange entre la réalité [...] Lire la critique
#Par azorni le 21-10-2010
Encore un animé dont je n'ai pas encore terminé le visionnage, mais pour lequel je ne résiste pas à l'envie d'en rédiger déjà une petite critique. Je vous le dis d'emblée : j'adore cette série. Même si elle s'adresse plutôt aux jeunes adolescents, et donc à priori pas à moi, ça ne m'empêche pas de l'apprécier malgré tout, même s'il est clair que je l'aurai encore plus aimée si j'avais quelques années de moins. Pour résumer cette série j'ai envie de dire : vous voyez "la guerre des boutons" ? Bon, ben remplacez les boutons par des virus informatiques, et vous avez Dennou coil. Oui car c'est ça qui m'a plu dans cette série : l'ambiance bon-enfant qui sévit entre ces bandes de [...] Lire la critique
#Par PetiteAkatsuki le 23-07-2009
Dennô Coil: une superbe série animé, qui par ailleurs n'est pas si reconnu comme il devrait l'être. J'avoue avoir eu un vrai coup de coeur pour cet animé (ce qui ne m'étais pas arrivé depuis Seirei no Moribito ou avec les films du Maître Hayao Miyazaki). Et d'ailleurs on peut reconnaître le même style du Maître, en tout cas dans les premiers épisodes. Cette façon poétique d' aborder les choses, le scénario complexe mais comprehensible, la presence importante d'enfants , les regards tournés vers les sentiments des personnages, le chara design de certains personnages & surtout des animaux virtuels...etc. Par la suite, la série aura su trouvé son propre style. Je ne regretterais que le fait [...] Lire la critique
#Par Starrynight le 18-10-2008
Dennô Coil, série malheureusement passée assez inaperçue, fait partie pour moi des bonnes surprises de 2007. Cet anime possède en effet une ambiance et une identité fortes tout en faisant preuve d’une inventivité rare. Déjà, le graphisme, mixé à la sauce Razmoket, surprend un peu mais rend bien. Mais là où Dennô Coil frappe fort, c’est surtout par son univers, qui est pour moi tout simplement énorme, et qui offre des possibilités très vastes que l’anime n’a pas manqué d’explorer dans tous les sens. Sa clé de voûte réside dans le « cyber » (dennô), où les avancées technologiques ont permis de rendre extrêmement floue la limite entre réalité et virtuel au moyen des lunettes. Celles-ci sont [...] Lire la critique
#Par emilie le 16-10-2008
Au début le design de cette série ne m'attirait pas trop, je le trouvais trop fin, indistinct. Mais j'ai quand même regardé le 1er épisode par curiosité et là ... c'est le drame. Je suis tombée sous le charme de cette série. Finalement le dessin se retrouve fluide et très approprié, les couleurs de même. L'humour par pointe me va comme un gant, j'étais souvent morte de rire grâce à kyoko ou la grand-mère, Il y a aussi la vitalité des personnages qui y fait beaucoup, toujours en action, même les plus inexpressifs comme Haraken, donc je me suis pas lassée une [...] Lire la critique